Comme promis à notre public, nous allons continuer à travers cette chronique judiciaire de vous informer sur le déroulé des audiences tenues dans le cadre de l’affaire « Hafida Daoudi contre le fondateur du groupe Origines », et ce pour éviter toute désinformation concernant cette affaire.
Nos articles sont à but dissuasif et à intérêt public.
A la suite de la réception de la mise en demeure de la part du fondateur du groupe Origines avant de l’additionner aux 8 accusés dans le dossier « le fondateur du groupe Origines contre Nabil Hallaji & All », Hafida Daoudi s’est empressé à aller déposer une plainte contre lui pour une injonction interlocutoire.
Plainte contre laquelle le fondateur du groupe Origine a répondu en donnant amplement les preuves du non fondé de la demande, de son caractère abusif dans l’objectif ultime d’intimidation et prouvé par un ensemble de preuve que la déclaration assermentée de la concernée était truffée de mensonges, ce qui équivaut à faire un parjure.
A la réception de la réponse du fondateur du groupe Origine, et pour des raisons qu’elle est la seule à connaitre, Hafida Daoudi s’est désisté de sa plainte.
Or il n’est pas aussi aisé de se désister d’une plainte que de la déposer, car le fondateur du groupe Origine a eu recours comme à chaque fois au conseil d’un avocat, il a dû payer des frais pour le dépôt des pièces preuves et s’absenter de son travail plusieurs jours pour pouvoir se rendre au tribunal et chez l’avocat et pouvoir y répondre.
De ce fait il a souffert un préjudice financier et moral qu’il entend bien mettre en lumière face à la justice.
Il a donc déposé en meme temps que sa réponse, une demande reconventionnelle qui reste valable meme dans le cas de désistement de la plaignante.
En langage plus familier, il est devenu plaignant après avoir été donné comme accusé par Hafida Daoudi, et de ce fait c’est lui maintenant qui la poursuit pour le préjudice subi.
L’audience tenue à la cour suprême du Québec, à la date du 18 Août 2021, a pris lieu au soutien du rejet de la demande de Hafida Daoudi et au soutien de la demande en injonction interlocutoire, provisoire et en injonction permanente et demande de dommages et intérêts.
Voici les détails de cette affaire :
Le 25 Juillet 2021, le fondateur du Groupe Origines été informé par des membres de la communauté que Hafida Daoudi avait partagée et affichait sur sa page Facebook et ce depuis 2 mois, des publications hautement diffamatoires contre lui en provenance de l’un des 4 individus (le dénommé Rachid Najahi).
Le 26 juillet 2021, le fondateur du Groupe Origines adresse une lettre de mise en demeure, par Courrier recommandé avec signature à Hafida Daoudi pour la sommer d’arrêter à partager des publications sur sa personne.
Le 28 Juillet 2021, Hafida Daoudi, a appelé le fondateur du Groupe Origines par téléphone dans une tentative de le piéger et de le corrompre.
Le Lundi 02 Aout 2021, suite à sa concertation avec son avocat conseil, il s’est avéré que les publications de Hafida Daoudi sur sa page Facebook justifiait largement de la poursuivre avec 8 autres accuses dans la deuxième affaire (Hallaji & al) que le fondateur du Groupe Origines poursuis dans une deuxième plainte toujours suite à la même campagne de diffamation le frappant. (Dossier numéro : 500-17-1777509-219)
Le Lundi 02 Aout 2021, un huissier de justice notifie Hafida Daoudi de la demande du fondateur du Groupe Origines
Le même jour à 17h25, le fondateur du Groupe Origines reçois une notification du tribunal comme quoi Hafida Daoudi demande un changement de date d’audience pour sa demande contre lui, sachant qu’elle ne l’a pas encore notifié du dépôt de sa demande contre lui, ni de la date d’audience fixée dans ce sens !
Le même jour à 20h12, le fondateur du Groupe Origines reçois une notification du tribunal comme quoi la demande de changement de date d’audience par Hafida Daoudi ne sera pas traitée car hors délai.
Le 03 Aout 2021, le fondateur du Groupe Origines reçois de la part de Hafida Daoudi, par huissier de justice sa notification de sa demande contre lui, Qu’elle avait déposé le 31 Juillet 2021, c’est-à-dire 4 jours après avoir reçu la mise en demeure du fondateur du Groupe Origines.
C’est le premier courrier qu’il n’a jamais reçu de la part de Hafida Daoudi, elle ne lui avait jamais envoyé aucune mise en demeure préalable au dépôt de sa demande à la cour ;
Ce timing montre clairement que derrière le dépôt de la demande de Hafida Daoudi se trouve uniquement un désir revanchard contre le fondateur du groupe Origines et le souhait de l’intimider d’aller plus loin dans sa poursuite judiciaire contre elle.
Le 17 Aout 2021, le fondateur du Groupe Origines reçois un Avis de représentation de l’avocat de Hafida Daoudi dans ce dossier, qui se trouve être le même avocat des 9 défendeurs dans le dossier (Hallaji & All).
Le 17 Aout 2021, le fondateur du Groupe Origines de l’avocat de Hafida Daoudi un avis de désistement.
Le 18 Août 2021, dans la salle 2.16, le demandeur se présente car il avait été notifié de la tenue de l’audience mais à sa grande surprise la greffière spéciale l’informe qu’aucune audience ne figure dans le rôle.
Une discussion ultérieure avec l’avocat de Hafida Daoudi l’étonne encore plus car ce dernier lui dit que la demande n’existe pas, qu’il ne l’a même pas trouvé au tribunal, alors que ce qu’il dit est clairement faux, puisqu’il a lui-même inclus le numéro de la demande en question dans ses différents échanges avec lui, et que le fondateur du groupe avait consulté physiquement le dossier au tribunal quelques jours auparavant.
Un dialogue de sourds qui n’augure rien de bon et qui pousse le fondateur du groupe Origine à privilégier dorénavant, uniquement les communications par email avec l’avocat de Hafida Daoudi.
Le 23 Août 2021, le fondateur du Groupe Origines va déposer un avis de gestion pour fixer la date pour une audience dans laquelle le fondateur souhaite que l’honorable juge, accepte sa demande, refuse celle de Hafida Daoudi, et émette une ordonnance d’injonction interlocutoire à l’encontre de celle-ci et indemnise le fondateur du groupe Origines pour le préjudice subi dans cette affaire, tout aussi ridicule qu’injustifiée.
Nous clôturons ce récit, troisième épisode de notre colonne « Chronique judiciaire », par une belle expression tout à fait dans l’aire du temps et des circonstances :“Le client attend l’avocat, l’avocat attend le juge, et le juge attend de l’avancement.” Gabriel Delattre.
Source : Dossier numéro : 500-17-117805-211 à la Cour supérieure du Québec.