Ne faillant pas à son habitude, Salah Eddine ALOUANI, à partir d’une chaise sur piscine à Agadir, continue de lancer ses attaques contre le fondateur du groupe Origines.
Il se répand en conseils sur la démarche à tenir au Maroc en temps de COVID, divague entre description de l’ambiance sur place et commentaires sur les évènements en cours concernant la communauté au Canada, se confond en excuses envers quelques membres de la communauté, qu’il injuriait et menaçait et trainait dans la boue la veille, avant de reprendre la hache de guerre contre le fondateur de Origines.
Sa haine féroce contre le fondateur du Groupe Origines, qu’il n’a d’ailleurs jamais rencontré ni fréquenté, le pousse à se surpasser à chaque fois et de chercher toujours plus loin, au-delà des menaces de violences physiques et des injures caractérisées, tous les moyens possibles et imaginables pour lui nuire.
Sa dernière invention : la publication de fragments de deux jugements au Maroc pour des affaires citant le nom du fondateur du Groupe Origines.
Je dis bien fragments, car Salah Eddine Alouani, comme à son habitude a pris le soin de ne sélectionner que les parties à sens incriminant mais s’est bien prévenu de communiquer l’ensemble du jugement qui finalement dédouane sa cible.
C’est un exemple typique de détournement de preuve, dont il use et abuse pour induire en erreur son audience.
Voilà en bref le récit des faits, de la dernière tentative en date, intentée par Salah Eddine Alouani pour saper à nouveau notre réputation :
Salah Eddine Alouani, par l’entremise d’une personne au tribunal de Casablanca, a tout fait pour ressortir des preuves de ses accusations d’antécédents criminels qu’il avait déclaré, répété, et martelé à son audience, montrant dans plusieurs de ses vidéos un volumineux classeur de papier supposé contenir les preuves de source toujours « OFFICIELLES ».
Mais heureusement pour nous son bluff n’a pas tenu longtemps car nos amis et partisans refusaient de se laisser berner et réclament à chaque fois de voir ses supposées preuves, ce que Salah Eddine Alouani n’arrivait jamais à montrer, et qui finalement lui a fait changer d’angle d’attaque et de demander à mes amis de prouver eux même les accusations contre moi.
Si ce n’était pas dramatique comme situation on en aurait ri de bon cœur.
En effet, à part un classeur au contenu mystérieux qu’il brandissait dans l’air tel un livre sacré garant de la vérité et du savoir, il se trouvait au pied du mur et n’avait aucune preuve pour confirmer ses accusations de 6 mois de prison ferme que le fondateur auraient passés au Maroc, ni les autres accusations de condamnation à la prison pour sursis.
Sa bouée de secours sur cette question, est de fabriquer à nouveau une information mensongère et diffamatoire, preuves tronquées et manipulées à l’appui.
D’abord, les deux affaires en question sont des affaires en civil, et non pas en criminel comme il le soutient dans ses accusations filmées.
Ensuite, à y voir de plus près, dans la première affaire publiée, un deuxième jugement en appel néglige le premier jugement donné qui avait été prononcé, ce qui veut dire en langage commun et facile, que le fondateur est déclaré innocent.
Car il est associé dans le journal mis en accusation par une imprimerie pour non-paiement d’une commande, mais puisque le fondateur n’a jamais signé de chèque, qu’il n’était même pas présent au Maroc au moment des faits, et que finalement l’imprimerie a été payée par son associé au journal, le jugement rendu a été l’innocence pure et simple.
Dans la deuxième affaire, le jugement a prononcé l’acquittement et déclaré l’innocence, encore une fois, du fondateur du Groupe Origines.
Suite aux évènements entourant cette mise en scène de preuves diffamatoires et mensongères orchestrée par Salah Eddine Alouani, le fondateur du Groupe Origines va formuler et envoyer une plainte au Ministre de la justice du Maroc, qui sera suivie par une enquête visant à identifier celui ou celle qui a abusé de son pouvoir au tribunal, a consulté et imprimé les deux jugements, et est devenu un accessoire dans cette attaque.
Salah Eddine s’est servi de ces documents soutirés par son acolyte, et publie le premier jugement (2 mois de sursis) qui concerne deux chèques de l’une des entreprises du fondateur du Groupe Origines au Maroc (un journal), mais il a omis expressément de publier le jugement de l’appel qui innocente le fondateur du Groupe Origines, car il n’a signé aucun chèque et donc par conséquent les deux mois de sursis sont effacés.
Il publie aussi, la première page d’un deuxième d’un jugement car dans la dernière page, le juge innocente le fondateur du Groupe Origines.
C’est dans ce sens, Groupe Origines, invite ceux qui sont curieux ou dubitatifs, de consulter le lien ci-après : https://www.mahakim.ma et lancer une recherche avec la date et le numéro des deux dossiers donnés par Alouani, pour avoir la preuve de nos dires.
Le fondateur du Groupe Origines est donc à nouveau INNOCENT des accusations adressées par son détracteur Salah Eddine Alouani, PREUVES A L’APPUI.
Mais nous ne pouvons pas garantir le contraire pour ce dernier, car à ce jour 9 plaintes sont déposées contre lui, il en sortira surement un ensemble de condamnations (en se basant sur la jurisprudence Québequoise) et un pactole à payer aux personnes qui le poursuivent, en dédommagement.
On remercie à nouveau nos partisans et amis qui nous font parvenir les preuves contre nos détracteurs dans cette campagne de diffamation, malgré toutes leurs tentatives de nous le cacher en utilisant des moyens des groupes privés et des moyens communications auxquels nous n’avons pas nécessairement accès.
C’est la preuve que les manigance de Salah Eddine Alouani ont été mises en lumière, et que la communauté, qu’il a toujours dans la bouche, comme un objet qu’il s’est auto- appropriée, est loin d’être dupe ou complaisante dans ses agissements.