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« REJETEE » : Réponse du juge Rogers aux demandes de Rejet des diffamateurs.

Le juge Rogers a rejeté ce jeudi 14 avril 2022, plusieurs demandes déposées par les meneurs de la campagne de diffamation contre le fondateur du groupe origines. Ces demandes visaient le rejet de la poursuite contre les concernés.

Comme promis, nous allons continuer à travers cette chronique judiciaire de vous informer sur le déroulé des audiences tenues dans le cadre de l’affaire « Le fondateur du Groupe Origines Contre Rachid Najahi & All », et ce pour éviter toute désinformation de la part de certains des partisans des diffamateurs dans cette affaire, qui choisissent sciemment de continuer à mentir au public, de l’induire en erreur pour le pousser à se piéger en se ralliant à leur bataille illégale et condamnable contre le fondateur du groupe « Origines ».

Après le rejet par le juge Edwards le 12 janvier 2022, d’une demande de rejet et d’une demande d’une ordonnance en quérulence, déposées toutes les deux contre le fondateur du groupe Origines par l’avocat qui représente sous mandat commun les défendeurs :  Nabil HALLAJI, Abdrahmane ADRAOUI, Boussayri ABDEL-HAK, Hassan BOULAL, Nezha EL KODDACHY, Kawthar OUARRAK , Safia LBAHY et Hafida DAOUDI, c’est cette semaine le tour des demandes de rejet déposées par Abderrahim KHOUIBABA, Rachid NAJAHI et Bouchra KHATAM (Bouchra Avakian), d’être rejetées par le juge Rogers.

Ces dernières demandes de rejet ont été déposées contre le fondateur du groupe Origine, par les quatre défendeurs précités dans le dossier au civil pour diffamation qui les oppose à ce dernier.

Dans ce dossier, et en plus de Rachid NAJAHI, Bouchra KHATAM et Abderrahim KHOUIBABA, il existe d’autres défendeurs poursuivis, personnes physiques et personnes morales, qui sont : SalahEddine ALOUANI, Groupe atlas média inc, Groupe atlas média (entreprise individuelle) Maghreb Observateur, 9455-3484 Québec inc et Dounia NAJAHI.

Seules ces personnes et leurs partisans croyaient à tort, qu’un juge au Canada allait rejeter la poursuite lancée par le fondateur du groupe Origines contre eux, suite à leur compagne de diffamation acharnée contre lui, menée pendant plusieurs mois, tambours battants, sur les réseaux sociaux.

Dans les dossiers consécutifs à cette campagne de lynchage sur les réseaux sociaux, malgré les jérémiades, les mensonges, la falsification des documents, les fausses accusations et faux témoignages des défendeurs répétés en boucle devant l’ensemble des juges siégeant aux audiences, la justice n’a pu que rejeter le dernier recours tenté par les 21 personnes morales et physiques poursuivies par le fondateur du Groupe Origines.

La bataille du fondateur du groupe Origines, fut rude cependant, car il s’est retrouvé, simple justiciable, face à 2 avocats représentants Facebook, et à l’avocat représentant un groupe des diffamateurs, à l’occasion de plusieurs dizaines d’audiences. Sans compter les diffamateurs eux même, qui à l’opposé des avocats, ne sont pas tenus par une charte déontologique de profession à observer, et continuent à opérer en présence même de la Cour, les mêmes attaques diffamatoires bien rodées sur les réseaux sociaux.

Ce qui donne au final un spectacle insolite auquel la Cour, le public présent aux audiences et même les stagiaires du cabinet représentant Facebook, assistent, ébahis.

Fin de ce mois, la date de l’audience de fond d’une durée de trois jours sera arrêtée. S’en suivra le procès final dans les deux mois à venir, qui aboutira à l’ordonnance d’une injonction interlocutoire permanente, assortie d’une compensation financière pour le fondateur du groupe Origines pour le préjudice causé. Une dernière conclusion demandée aussi : la fermeture des comptes des diffamateurs sur les réseaux sociaux, car c’est leur instrument pour attaquer leurs victimes et réduire leur réputation en cendres.

Il va sans dire que l’injonction interlocutoire implique la suppression de l’ensemble des publications diffamatoires sur les différents réseaux sociaux.

Il n’en demeure pas moins, qu’après des mois de lynchage, et d’autres mois consécutifs à mener sa lutte pour la justice, le fondateur du groupe Origines espère de tout cœur que ces poursuites soient les dernières devant les tribunaux du Canada pour diffamation, opposant des membres de notre communauté.

Le cout financier important des poursuites, cristallisé dans les honoraires des avocats, les frais payés au tribunal, les frais des centaines de significations par huissier de justice, les frais de la transcription des propos diffamatoires et leur traduction assermentée, et d’autres frais judiciaires divers, restent les principaux freins qui découragent les victimes de diffamation de s’adresser à la justice. Néanmoins, tous ces frais sont à la charge de la partie perdante dans le dossier à la fin du procès.

La complexité des procédures judiciaires, la méconnaissance des chicanes de jurisprudence et l’obligation de respect de certains délais rendent la tache de se représenter seul extrêmement prenante et risquée. Il est toujours plus aisé de recourir à un avocat mais ça reste couteux et non accessible à tous.

Cela implique dès lors, une retenue à observer et une réflexion à mener, avant de lancer ou de participer à la diffamation de quelqu’un sur les réseaux sociaux, car on risque de le payer cher, aux sens propre et figuré.

Nous clôturons ainsi ce récit, neuvième épisode de notre colonne « Chronique judiciaire », par une belle expression tout à fait dans l’ère du temps : Au jardin de l’avocat, un procès est un arbre fruitier qui s’enracine et ne meurt pas. Proverbe Italien

Source :
Dossier numéro :  500-17-117140-213 à la Cour supérieure du Québec.
Dossier numéro :  500-17-117509-219 à la Cour supérieure du Québec.

Dr. El Amine SERHANIhttp://www.origines-hebdo.ca
El Amine SERHANI, est journaliste, membre de l’Association Canadienne des Journalistes depuis le 16 novembre 2020 sous le numéro de membre : 57044868. Au-delà de sa formation universitaire, il a suivi une formation dans le journalisme au centre CNFDI - Groupe JPL, Etablissement privé déclaré auprès du Ministère de l'Education nationale en France et membre de la Fédération Européenne Des Ecoles (FEDE) et ce depuis le 19 octobre 2020 ainsi qu’à HEC en marketing digital. L'expérience du journaliste et grand reporter de El Amine, a commencé dans le cadre du journal des étudiants à l’âge de 19 ans à l’Université Mohamed V, l’Université Hassan II et l’école française des affaires au Maroc ainsi que dans l’hebdomadaire « le Canard Libéré » entre 2008 et 2010. Il a continué depuis 2010 en rédigeant des centaines de rapports et papiers établis dans plus de 134 pays, parmi lesquels la rédaction et l’édition de 14 livres sur les thèmes suivants : Rituels et traditions marocaines, promotion territoriale, économie numérique, etc. Dr.SERHANI, finalise une grande étude sur la communauté marocaine établie au Québec, sur la base d’entretiens de plus d’une heure, menés avec plus de 1600 personnes de cette communauté. Depuis fin décembre 2018, Dr. SERHANI, a créé un média communautaire dédié à la diaspora marocaine établi au Canada en trois langues et sur plusieurs supports (Papier, web, mobile et les réseaux sociaux), appelé « Origines ». El Amine SERHANI, avait assuré pendant plusieurs années des missions comme consultant international auprès du Centre International du Commerce (une agence de l’ONU et l’OMC) et auprès des agences et programmes de l’union européenne. Depuis 2008, il est Président élu de la Fédération Nationale de l'Économie numérique Marocaine, et il aura collaboré avec une centaine d’instances diplomatiques marocaines dans plus de 87 pays dans les quatre coins du monde.
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