L’audience tenue à la cour suprême du Québec, à la date de 28 Juin 2021, suite à la demande urgente du fondateur du Groupe Origines d’introduire une requête d’injonction interlocutoire provisoire.
Cette injonction interlocutoire provisoire aurait permis d’intervenir immédiatement auprès des défendeurs pour supprimer le contenu diffamatoire et injurieux qu’ils ont publié et diffusé sur les réseaux sociaux, et également de leur interdire de parler du demandeur sous n’importe quelle appellation, sous peine de lui payer des dédommagements.
C’était une solution adéquate à la problématique que rencontre Groupe Origines, en attendant le départ de l’instruction judiciaire classique. Cette problématique de voir Rachid Najahi, Abderahim KHOUIBABA, SalahEddine ALOUANI et Bouchra KHATAM continuer leur diffamation et injures avec virulence, d’une manière quotidienne et intensifiée. Cette injonction aurait permis au Groupe Origines et à son fondateur de reprendre leur activité très perturbée par cet acharnement intentionné subi.
La session de la cour s’est déroulé sur 1 heure pas plus, car elle était tenue par un juge instructeur des affaires urgentes. 15 minutes étaient allouées au juge pour la lecture de la demande du demandeur, 30 minutes au fondateur du Groupe Origines, et 15 minutes aux quatre accusés
Le fondateur du groupe Origines, s’est adressé au juge en sa qualité de demandeur, exposant brièvement qui il est, les circonstances des attaques, le préjudice qu’il a subi ainsi que son entourage familial et relationnel, et enfin expliqué les raisons de l’urgence de sa demande.
N’ayant pas l’expérience d’être ciblé de la sorte, et ayant très éprouvé mentalement et financièrement par ces attaques. Le demandeur était très émotif mais concis et cherchait à faire comprendre au juge la situation et l’urgence d’intervenir.
La dénommée Bouchra Khatam avait sciemment caché son adresse de résidence pour compliquer le travail de notification de l’huissier, SalahEdine Alouani n’affiche aucune adresse, mais malgré cela, ils ont été notifié. Suite à quoi ils ont envoyé un courrier au tribunal pour refuser d’assister à la session en urgence, ce qui dénote d’un désir de se soustraire à la justice.
Aucune réponse n’a été fournie par aucun des défendeurs, à part le dénommé Khouibaba, quant au contenu de la plainte. Leur réponse s’est restreinte à refuser l’audience en urgence.
Seul le dénommé Khouibaba était représenté par un avocat. les autres se représentait eux même. Et pourtant le dénommé SalahEdine Alouani continue à affirmer au public que le groupe est défendu par le même avocat et qu’ils se soutiennent encore, alors que les rangs se sont bien défaits.
Après introduction du fondateur du groupe Origines de sa plainte et des raisons invoquées pour l’urgence de cette session, la juge s’est retiré pendant 15 minutes pour lire le dossier. Suite à cette lecture, la juge est retourné à la salle d’audience pour donner la parole au fondateur du groupe Origines.
Entre plaintes de ne pas avoir accepté la session ni la durée accordée, ou au sujet l’horaire de réception des documents de la part du fondateur du groupe Origines, ou encore les allégations d’être des victimes innocentes déclarés en même temps par les quatre manifestés, la juge avait sur son visage pris l’expression crispée même de l’appréhension.
La défenderesse a même lancé comme un pavé dans la mare que le demandeur avait cherché à se marier avec elle pour les papiers…avec ce timbre de voix strident que le public lui connait … propos mensongers et incohérents qu’elle n’a pas hésité à lancer comme une arme fatale de la pauvre « Femme » victime de cet « Homme », qui a eu le tort de se défendre et lui a fait l’offense de demander justice pour son honneur souillé.
La juge s’est ensuite retiré pendant 15 minutes, pendant laquelle elle a reçu de la part du fondateur du groupe Origines un classeur de 820 pages de preuves, non encore versées au dossier.
Au retour du juge, elle a statué que le dossier était un gros dossier, et qu’il n’y avait pas assez de temps pour statuer dessus en session urgente, de plus elle a noté que puisque les attaques ont commencé en Août 2020, et que le demandeur n’avait pas porté plainte jusqu’à 2 semaines avant 28 juin 2021, c’est que la caractère d’urgence de la requête était annulé.
D’ailleurs, ceci doit être noté par notre public, il est nécessaire de porter plainte dès qu’on a subi un préjudice, attendre revient à diminuer l’importance accordée à l’attaque aux yeux des magistrats.
La juge a de ce fait rejeté la demande d’injonction interlocutoire provisoire de 10 jours malgré la protestation du fondateur du groupe Origines, qui arguait que les défendeurs allaient percevoir cette décision comme un feu vert accordé par la justice pour continuer leur acharnement.
La juge a adressé verbalement suite à cette réflexion, de prendre rendez-vous pour une session normale et demander une injonction interlocutoire, cette fois, et additionner le classeur des preuves, à celles déjà versées au dossier de la plainte.
Le fondateur du groupe Origines va mettre à la disposition des juges québécois l’ensemble des preuves qui prouvent ses accusations de diffamation et d’injure, qui à la date d’aujourd’hui atteignent des dimensions astronomiques (62 heures d’enregistrements de vidéos en direct dont la majorité a été supprimée, 4634 pages de publications et de commentaires).
Sans surprise, le jour même à la sortie de l’audience, Rachid Najahi, Bouchra Khatem et Salah Eddine Alouani, ont repris de plus belle leur attaques diffamatoires et mensongères, à travers la publication de leur « Victoire » illusoire. En induisant le public en erreur sur le déroulé exact de la session au tribunal, et en lui servant comme toujours des discours déconnectés de la réalité qui confortent leurs positions et cherchent à humilier le fondateur du groupe Origines aux yeux de la communauté.
Sur le fil de cette affaire, Groupe Origines a envoyé une centaine de mises en demeure à d’autres personnes impliquées dans la campagne de diffamation instiguée par les 4 premiers défendeurs. Nous allons taire leurs noms car ils ne sont pas encore poursuivis.
Il compte envoyer d’autres mises en demeure aux autres partisans de ce groupe de 4 personnes, pour le partage des publications, les commentaires préjudiciables et les likes encourageants qu’ils apposent en solidarité aux propos diffamatoires et injurieux ciblant le fondateur du groupe Origines ou/et le Groupe Origines.
Ceci donc est à titre persuasif pour le public, pour prendre conscience de sa responsabilité camouflée derrière un écran ou un faux compte. La justice dispose de jurisprudence en matière de diffamation et d’intention de nuire, et tout internaute concerné devrait en être conscient.
Groupe Origines, déplore cette situation qui touche les membres de la communauté marocaine au Québec et porte atteinte à sa réputation auprès des autres communautés.
Groupe Origines, lance une campagne contre la diffamation sur les réseaux sociaux, qui gangrène notre communauté depuis plusieurs années et qui bloque toute initiative de projets par peur d’avoir sa réputation salie sur les réseaux sociaux par certains individus.
Nous clôturons ce récit, premier épisode de notre colonne chronique judiciaire, par une belle expression tout à fait dans l’aire du temps et des circonstances :
Ce n’est qu’au prix d’une ardente patience que nous pourrons conquérir la cité splendide qui donnera la lumière, la justice et la dignité à tous les hommes. Ainsi la poésie n’aura pas chanté en vain. Arthur RIMBAUD.