Tout comme dans la communauté marocaine, le fléau de la diffamation et de la haine sur les réseaux sociaux, prolifère dans la communauté algérienne au Canada. Des campagnes acharnées de destruction de réputation et de harcèlement en ligne ont pris place depuis une dizaine d’années dans cette communauté, motivées principalement par le désir de nuire à la concurrence, par la jalousie et par les règlements de comptes entre ses membres.
Une figure de ces offensives virulentes, est Wahida Lakhdara, qui soutenue par ses amies marocaines Najat Moujjane, Souad Handaoui et par d’autres partisans, s’attaquent en groupe sur les réseaux sociaux à plusieurs personnes de la communauté, et ce sans aucune raison valable.
Leurs attaques favorites varient au choix, entre accuser faussement leurs victimes d’appartenir à des mouvements séparatistes, d’être des escrocs, d’être des voleurs, ou bien encore d’être des terroristes.
Comme c’est le cas dans d’autres d’affaires de diffamation et de haine sur les réseaux sociaux, les assaillants dans ces nouvelles affaires, qui sont l’algérienne Wahida Lakhdara et son mari, les marocains Najat Moujjane, Souad Handaoui, Ahmed Chihane et d’autres de leurs partisans, ont fini tous poursuivis dans plusieurs dossiers en civil qui totalisent plus d’UN MILLION de dollar en demandes de dommages et intérêts.
En plus de ces plaintes en civil, l’algérienne Wahida Lakhdara a fait objet, à ce jour, et rien qu’en 2022, de 4 plaintes à la police, pour menaces, intimidation, harcèlement et menaces de mort.
Le mari de Wahida Lakhdara, le dénommé Ahmed Guerfi, n’est pas mieux loti que sa femme, puisqu’il est poursuivi au criminel par le cousin de son épouse, dans le dossier 500-01-223888-212, pour agression et menaces de mort.
Pour information, Wahida Lakhdara et son mari Ahmed Guerfi, étaient tous les deux courtiers immobiliers, avant de perdre leurs permis numérotés G1305 et G0580, suite à leur révocation le 30 avril 2019.
Najat Moujjane, une autre figure de cette saga embourbée, a pour pratique d’accuser faussement des membres de la communauté de la harceler, alors qu’il n’existe aucune preuve de ses allégations en l’absence de tout contact ni même connaissance entre elle et ses présumés détracteurs.
Elle s’est attaquée ainsi à plusieurs personnes, parmi lesquelles la nouvelle épouse de son ex-mari, et n’a jamais hésité à détruire la réputation de quiconque la contredit ou remet en question ses histoires.
L’un des cas les plus frappants de ses vendettas acharnées, est celui contre Mme Hajira Belkacem, qui est connue dans la communauté maghrébine par son engagement associatif dans plusieurs causes.
Madame Hajira Blkacem avait été prise pour cible par le groupuscule de personnes précitées, et a ainsi fini par les poursuivre pour diffamation, désinformation, insultes, menaces et fausses dénonciations, et par réclamer 400 000$ en dommages moraux pour atteinte à la réputation et en dommages punitifs.
Madame Hajira nous a confié avoir gravement souffert dans sa vie personnelle et professionnelle des suites de ces attaques contre sa personne. A titre d’exemple, l’une des conséquences les plus notoires qu’elle nous a confié dans le long récit de ses déboires, était son incapacité à retourner chez elle au Canada, lors de son dernier voyage en Algérie, et en cause à cette situation : une fausse dénonciation de sa personne au régime algérien comme étant une terroriste !
Situation incroyable et cauchemardesque, à laquelle on refuse tous de croire qu’elle puisse survenir encore en l’an 2022 dans des pays de droit. Et pourtant, Madame Hajira Belkacem en a été la victime aléatoire.
Wahida Lakhdara, avait faussement dénoncé Hajira Belkacem auprès d’un membre de sa famille, qui est cadre dans l’armée algérienne. Cette dénonciation, non dûment investigué puis logiquement rejetée, a incroyablement et même à l’opposé, fait son chemin aux personnes d’autorité, pour ordonner la privation de Hajira Belkacem début 2022 et durant plus de 6 mois, de sa liberté de mouvement, matérialisée en l’interdiction de retourner au Canada à partir de l’Algérie.
Il est aisé d’imaginer les conséquences morales et financières d’un tel geste sur Hajira Belkacem, qui a dû faire face seule aux conséquences de cette dénonciation arbitraire et malveillante.
D’autres personnes, qui préfèrent rester dans l’anonymat, poursuivent également Wahida Lakhdara et certains de ses partisans, pour les mêmes allégations et demandent aussi des dommages conséquents.
Ce feuilleton n’est pas près de finir puisque d’autres membres de la communauté algérienne préparent actuellement avec leurs conseillers juridiques, leurs dossiers, qu’ils comptent déposer incessamment, à la cour supérieure du Québec.
Pour rappel, la jurisprudence au Québec nous renseigne que pour des affaires similaires et même d’envergure inférieure, consistant quelquefois en quelques publications seulement, les victimes sont dédommagées avec des montants conséquents situés entre 35000$ et 100 000$.
L’éveil des victimes à ce phénomène de diffamation et de haine en ligne se fait de plus en plus pressant, dans une blogosphère prise en otage par quelques membres de notre communauté maghrébine, qui sont sans surprise souvent incultes et de niveau académique bas, autour desquels s’agglutinent des grappes d’internautes oisifs, amers, cachés derrière leurs écrans, jouissant ainsi de l’illusion de l’impunité et vivant au rythme de l’agression en ligne.
Au point actuel de leur pratique, ils en sont devenus champions. Ils désignent ainsi des victimes et se lancent joyeusement et collectivement dans leur entreprise de destruction.
Tels des porcs pataugeant frénétiquement dans la boue, ils n’hésitent pas à étaler les détails privés et choquants de la vie de leurs victimes, quitte à les inventer s’ils n’existent pas. Aucun coup n’est considéré trop bas et plus c’est scandaleux mieux c’est. Il est ainsi facile d’imaginer l’état de la réputation et de la dignité de leurs victimes en fin de parcours.
Plusieurs y ont laissé des plumes, ont vu leurs familles brisées, leur estime de soi anéantie, leur business fermé, et se sont fait exclure de leurs propres communautés tels des pestiférés.
Toutes les victimes interrogées s’accordent à dire que tant qu’on n’a pas vécu cette expérience éprouvante, on ne peut pas comprendre sa dangerosité et son impact.
Le cas de Madame Hajira Belkacem nous montre sans équivoque que la diffamation et la haine en ligne ne sont pas une question anodine de mots désagréables mais inoffensifs, mais que ces mots peuvent induire des conséquences graves sur la vie de la victime et la toucher dans sa chair et son âme.
Le pire des châtiments pour l’humain est d’être exclu de sa propre communauté, et les diffamateurs l’ont bien compris.
Sources :
Dossier n° : 500-01-223888-212
Dossier n° : 500-22-271314-224
Dossiers n° : RPR220302-004
Dossier n° : RPR20224-944
Dossier n° : 48-170522-015