Mes chers compatriotes marocains, je viens aujourd’hui vous apporter les dernières nouvelles qui ont secoué les réseaux sociaux de notre cher pays. Une histoire, qui malheureusement, n’est pas des plus réjouissantes. Il s’agit d’une affaire impliquant deux Instagrammeuses, MIMI TakTak et Meriem Dbaich, ainsi qu’une troisième, Soukaina Glamour. Le tout a commencé par une initiative louable de MIMI TakTak, qui a voulu offrir des paniers de nourriture, des vêtements et de l’amour aux enfants et aux familles dans le besoin, dans les régions montagneuses du Maroc. Mais cette belle intention a été ternie par des attaques sournoises et inappropriées de la part de ces chasseuses de likes.
Tout d’abord, MIMI TakTak a été confrontée à un député local jaloux de son initiative. Cette scène a été filmée en direct sur les réseaux sociaux, où nous avons pu voir MIMI TakTak réagir avec brio, recadrant le député avec l’aide de la population locale et bénéficiant de la protection de la sûreté locale. Cette altercation aurait dû être la fin de l’histoire, mais malheureusement, elle a été suivie par des accusations infondées de Meriem Dbaich.
Maya ou Meriem Dbaich a accusé MIMI TakTak d’avoir photographié des enfants et publié leurs photos sur les réseaux sociaux. Mais ce n’est pas tout, Meriem Dbaich a également insulté les fans de MIMI TakTak, les traitant « d’apaches » et les rabaissant de toutes les manières possibles. Cette attaque a été soutenue par Soukaina Glamour, une autre Instagrammeuse connue pour ses démêlés avec la justice.
L’affaire a pris une tournure encore plus sombre lorsque Meriem Dbaich a été filmée en train de prier contre les fans de MIMI TakTak dans une mosquée en Californie, allant à l’encontre des préceptes de l’islam. Les fans de MIMI TakTak ont répondu sur les réseaux sociaux en affirmant que Maya avait abandonné ses propres enfants au Maroc depuis plus d’un an. Ces révélations ont jeté une ombre sombre sur la réputation de Meriem Dbaich et ont soulevé de nombreuses questions sur sa crédibilité en tant que figure publique.
Cette triste tragédie nous montre comment ces chasseuses de likes peuvent détruire toute initiative louable pour le bien de nos compatriotes. Il est important de rester vigilant et de ne pas se laisser influencer par ces comportements inappropriés. Nous devons nous rappeler que les réseaux sociaux ne sont pas le reflet de la réalité, mais plutôt un miroir déformé de nos vies. Nous devons apprendre à distinguer le bien du mal et à défendre les initiatives positives de nos compatriotes.
Enfin, je tiens à souligner que les propos tenus par un animateur d’une émission sur CHADA TV sont scandaleux et honteux. Ce dernier a osé insinuer que MIMI TakTak représentait un danger imminent pour la société marocaine, allant jusqu’à suggérer qu’elle serait une menace terroriste ou une instigatrice de la christianisation du pays. Cette assertion est non seulement absurde, mais également insultante envers une jeune femme qui a consacré son temps et son énergie à aider les plus démunis. Il est du devoir de tous les citoyens de condamner fermement de telles attaques et de faire preuve de solidarité envers les initiatives positives de nos compatriotes.
En conclusion, cette affaire est révélatrice des dangers des réseaux sociaux et des ravages qu’ils peuvent causer dans nos sociétés. Nous devons tous rester vigilants et nous méfier des comportements inappropriés de certaines personnes en ligne, qui cherchent à nuire à autrui pour des raisons personnelles ou égoïstes. Mais nous devons également nous souvenir que des initiatives positives telles que celle de MIMI TakTak existent, et qu’elles méritent notre soutien et notre reconnaissance. Nous ne pouvons pas laisser les chasseurs de likes et les ennemis du progrès gagner, et nous devons continuer à nous battre pour un avenir meilleur pour tous les Marocains.
Qui sont donc ces deux instagrammeuses ?
Le cas de Meriem Dbaich est des plus alarmants. Voilà une femme qui a su, en l’espace d’une année, accumuler un dossier criminel des plus inquiétants. Elle a été reconnue coupable, dans le cadre de l’affaire 22STRO03675, de diffamation et de menaces à l’encontre de son ex-mari Brahim RACHIKI. Il est difficile de ne pas être effrayé par l’étendue de ses méfaits.
Mais ce n’est pas tout. Soukaina Glamour, cette instagrammeuse autrefois incarcérée, a elle aussi été reconnue coupable d’extorsion et de diffamation dans l’affaire « Hamza mon bb ». Il est à noter que cette dernière a été libérée le 14 octobre 2021, mais cela ne saurait diminuer la gravité de ses actes. Ces deux affaires témoignent de la noirceur de l’âme humaine et de la nécessité de poursuivre sans relâche les criminels en quête de justice.