Huitième épisode de notre chronique judiciaire, Affaire « Nabil Hallaji & AL »
Comme promis à notre public, nous allons continuer à travers cette chronique judiciaire de vous informer sur le déroulé des audiences tenues dans le cadre de l’affaire « Le fondateur du Groupe Origines Contre Nabil Hallaji & All », et ce pour éviter toute désinformation de la part de certains des personnes poursuivies dans cette affaire, ainsi que leurs amis, qui choisissent sciemment de continuer à mentir au public, de l’induire en erreur pour le pousser à se piéger en se ralliant à leurs bataille illégale et condamnable contre le fondateur du groupe Origines.
Dans la procédure du code civil au Québec, les délais entre la première signification et la fixation de la date du procès, comprenant l’établissement du protocole de l’instance ainsi que la mise en état du dossier et en considérant le délai additionnel de 45 jours, ne dépassent pas 7 mois et demi (6 mois + 45 jours).
Pour la plainte du fondateur du Groupe Origines, toutes ces étapes ont été passées, reste uniquement la fixation de la date du procès, qui va être jugé par le juge du fond du dossier.
Le code civil au Québec, toujours, permet à la défense de déposer une demande de rejet de la plainte, comme dernier recours aux personnes poursuivies avant le procès.
Dans le cas de ce dossier, ou plainte pour le commun des mortels, l’avocat de la défense « qui est aussi membre de notre communauté », avait déposé deux demandes au tribunal dans ce dossier : une demande de rejet et une demande pour déclarer le fondateur du Groupe Origines comme quérulent.
A titre de démystification : un justiciable quérulent présente un comportement vindicatif, téméraire, irrespectueux envers les magistrats, formule des demandes non fondées, remplies de griefs et de reproches farfelus, insultes et grossièreté.
L’audience était tenue à la cour supérieure du Québec, du 11 au 12 janvier 2022 inclus.
Elle s’est donc déroulée sur deux jours, la première journée était dédiée à la lecture du dossier par l’honorable Juge, et la deuxième journée pour l’audience en présence des personnes ne litige.
Le dossier se trouve être tellement grand à cause des très nombreuses publications des 9 membres de notre communauté poursuivies, et incluant des propos diffamatoires et/ou injurieux, qu’il a nécessité une journée entière de lecture par le juge.
Le deuxième jour, le 12 janvier à 9h30 dans la salle 15.02, le Juge Jeffrey a ouvert la séance pour permettre à l’avocat de défense et au fondateur du Groupe Origine, de débattre la demande et de faire valoir les preuves.
Après 8 h et demi passées entre les débats et les deux pauses, le Juge rejette les deux demandes, et accorde un délai jusqu’au mois de Mars au fondateur du Groupe Origines pour fixer la date du procès.
Une seule audience reste donc dans ce dossier, et c’est celle qui sépare le fondateur du Groupe Origines du jugement et l’obtention d’une injonction interlocutoire permanente contre les concernés et l’obtention d’une compensation financière pour ses déboires.
Ce jugement est attendu pour rétablir la vérité au grand public, qui a subi un vrai lavage de cerveau à force de lire tous les jours et pendant des mois les publications mensongères et diffamatoires des personnes poursuivies. Ce jugement est primordial pour relancer le groupe média Origines tué dans l’œuf par cette vindicte populaire et de le remettre de nouveau sur ses rails.
Sur ce, nous clôturons ce récit, huitième épisode de notre colonne « Chronique judiciaire », par une belle expression tout à fait dans l’ère du temps et des circonstances :
« L’avocat doit faire son choix : la connivence voire la complaisance, ou le coup de gueule pour rétablir un certain équilibre. J’ai choisi la seconde voie ». Bête noire (2012) de Eric Dupond-Moretti
Source : Dossier numéro : 500-17-117509-219 à la Cour supérieure du Québec.