Après une première plainte déposée en civil contre Rachid NAJAHI, Abderrahim KHOUIBABA, Salah Eddine ALOUANI et Bouchra KHATAM, Le fondateur du groupe Origines porte plainte à nouveau, cette fois contre 8 membres de la communauté marocaine au Canada , qui sont : Ismaïl HARAKAT, Abdrahmane ADRAOUI, Nabil HALLAJI, Abdelhak BOUSSAYRI, Hassan BOULAL, Nezha EL KODDACHY, Kawthar OUARRAK et Safia LBAHY et demande 500 000.00 $ en dommages moraux pour atteinte à la réputation et 200 000.00 $ en dommages punitifs.
Nous avons tardé à répondre à l’appel de notre public, qui nous a sollicité expressément et avec insistance depuis le début de la campagne de diffamation pour exercer son droit de savoir quant aux raisons derrière cet acharnement et quant à la véracité des accusations tenues par les diffamateurs à notre encontre.
Ce n’est pas dû à notre peur d’affronter nos détracteurs, ou à une quelconque culpabilité face à des accusations sorties d’un chapeau, sans fondement, contradictoires et sans aucun intérêt pour le public auquel elles ont été assénées en rafale par les mis en causes depuis des mois, mais ce retard à réagir était dû à la nécessité qu’on avait d’observer la retenue le temps de comprendre nous même les tenants et aboutissants de cette histoire, de rassembler les pièces du puzzle, de constituer le dossier, preuves à l’appui et le déposer aux mains des institutions policières et judiciaires.
Notre image, réputation et professionnalisme nous interdisaient tout simplement de répondre du tac au tac aux vidéos en direct sur Facebook (Live) par les mis en cause, ou aux parodies d’articles et bribes publiés par ces derniers, bourrés de désinformation, de propos mensongers et d’insultes. Nous ne connaissons pas ce langage et nous ne pouvions pas le parler.
Les initiatives non publiques que le fondateur du groupe avait prises pour laver son honneur entaché en s’adressant en privé aux membres de la communauté ont été un échec, car à chaque fois les preuves qu’il avançait de bonne foi étaient récupérées, détournées et déformées par les initiateurs de la campagne de diffamation et crus par leurs partisans, par exemple le fait de montrer sa carte de presse, donnant l’effet contraire recherché : si le fondateur du groupe Origines, ne se défend pas alors il est coupable, s’il se défend alors il est encore plus coupable.
Néanmoins toutes les preuves des propos de diffamation et d’injure, ainsi que les preuves de la non véracité des propos tenus, mais aussi les preuves des fautes civiles commises suite à la tenue de tels propos, ont déjà été déposées ou seront complétées bientôt dans les dossiers des 2 plaintes en question.
La tâche est ardue et onéreuse à cause du nombre sans précédent des éléments preuves, cumulées dans le dossier de diffamation le plus grand jamais reporté devant une cour au Québec, selon la confirmation de plusieurs avocats consultés. Cela nécessite du temps et des moyens financiers importants pour pouvoir traduire et interpréter les propos en arabe, mais toute preuve rajoutée vient renforcer le dossier et faire pencher la balance du bon côté.
Aujourd’hui, il est de notre devoir de sortir communiquer sur cette question, car l’ampleur qui lui a été donnée par les agissements des concernés, en a fait une affaire publique, suivie par des milliers de personnes au Canada et au Maroc, comme en atteste les statistiques des vues sur les réseaux sociaux.
Il était également primordial d’informer le public sur la réalité de la situation, à titre dissuasif, loin des racontars ridicules et mensongers diffusés par les 4 initiateurs même après l’envoi des mises en demeure et le dépôt de plainte à leur encontre.
En réalité on a recensé plus d’une centaine de personnes impliquées dans cette campagne de diffamation, réparties sur les 4 catégories suivantes :
- Les initiateurs qui sont au nombre de 4, qui sont derrière toute cette affaire, ont initié la campagne de diffamation à travers des pratiques illicites poussées comme : le détournement d’informations véridiques les déformant et les transformant intentionnellement en informations diffamatoires, l’invention de faits imaginaires, la fabrication et la diffusion de documents faussés, l’exploitation d’enregistrements privés et confidentiels sortis de leur contexte, etc. Avec une fréquence de publication et de répétition frénétiques et obsessives.
Ce petit groupe de 4 personnes est la locomotive qui tire inlassablement tous les suiveurs, ce sont les généraux de la vindicte populaire qu’ils ont orchestrée contre le groupe Origines et son fondateur.
- Les personnes relais : dont le nombre avoisine la vingtaine, qui sont passées du stade d’observateurs neutres à acteurs actifs , ont partagé et publié les propos diffamatoires et mensongers des 4 initiateurs à large échelle, ont laissé des commentaires virulents et préjudiciables sur les publications en question ou bien ont initié et appelé ouvertement d’autres personnes à initier des actions hautement préjudiciables contre le groupe Origines en tentant de casser sa dynamique, par exemple en le privant de l’usufruit d’un travail dévoué sur des mois de réseautage de la communauté, de tournage et de déplacements dans tous les coins du Québec, sous l’excuse de théories de complot de vol de données et autre folies, tout droit sorties d’un scénario de mauvais film d’espionnage, et basées sur des ouï-dire qu’ils n’ont même pas cherché à vérifier auprès du groupe et son fondateur concerné avant de les attaquer.
Ils sont reconnus pour leur plupart de par leur présence constante sur le fil des publications en question. Tels des soldats fidèles, ils répondent toujours à l’appel des généraux, et mettent leur cœur à l’ouvrage et la mission de détruire la réputation du groupe et son fondateur.
- Les personnes induites en erreur : comptabilisées au nombre de plusieurs dizaines de personnes qui ne commentent pas sur les publications mais n’en pensent pas moins, elles ont été influencées si profondément, au point d’annuler une future collaboration initialement prévue et planifiée avec le groupe Origines, ou de se méfier instinctivement de toute approche innocente et légitime d’un journaliste qui souhaite exercer sa profession et qui ne peut le faire en étant boycotté par la communauté.
Ils pensent et disent qu’il n’y a pas de fumée sans feu, et que toutes ces personnes ne doivent pas avoir attaqué le groupe et son fondateur sans raison, ignorant que derrière cet acharnement il existe des raisons malicieuses de conflit d’intérêt, de profonde haine personnelle et d’autres motivations loin d’être angéliques.
- Les « innocents » : cette appellation n’est pas tout à fait vraie car ces personnes comptabilisées au nombre de plusieurs dizaines, même en toute bonne foi, croyant naïvement ce qu’ils voient et entendent sur les publications en question, comme paroles du livre sacré, sympathisent avec les acteurs de la campagne et les soutiennent à travers des « like » des « cœurs » , leur adressent des souhaits de « bonne continuation » et des prières et remerciements et autres manifestations de sympathie pour le « travail » noble de bons samaritains, sauveurs de la communauté d’un danger qui n’existe que dans leurs propos mensongers.
Comme on a constaté sur la chronologie des évènements, notre communication rare sur le sujet a eu pour effet de rassurer la catégorie 1 et 2 quant à l’impunité face à leurs agissements et d’agrandir la base des catégories 3 et 4 et en pousser certains à bouger vers la catégorie 2, nous mettant face à un nombre grandissant de personnes à poursuivre pour diffamation et atteinte à notre réputation, on n’avait donc pas d’autre choix que de communiquer au public le papier présent à titre dissuasif.
Les 8 personnes mises en cause dans cette affaire ainsi que les 4 initiateurs mis en cause dans la première plainte, sont des personnes habituées à travailler ensemble dans des projets communautaires et ont pour leur majorité des liens d’amitié de longue date.
Après analyse des faits et de la chronologie des évènements de cette histoire, les seules explications plausibles que nous avons trouvées pour justifier le lancement de cette campagne de diffamation contre le groupe et son fondateur par les 4 initiateurs sont : La peur de la concurrence d’un nouvel intrant, la jalousie occasionnée par la réception donnée par l’ambassade et finalement l’édition par le groupe Origines de reportages sur les mosquées et les maisons funéraires, tous deux sujets à polémique.
Pour le groupe des 8 personnes qui les ont secondés, les motivations restent floues, mais on présume que les liens sociaux et amicaux avec les 4 initiateurs auraient joué un rôle prépondérant dans leur ralliement à eux, ainsi que la crédulité aveugle en leur ouï-dires.
Ces 8 personnes sont passées du stade d’observateurs au stade d’acteurs actifs dans cet acharnement contre le fondateur du groupe Origines, de par leurs déclarations verbales ou écrites sur les réseaux sociaux et de par leurs agissements. En effet certains parmi eux avaient adopté des agissements clairs de complaisance et de soutien aux 4 initiateurs de la campagne de diffamation, et donc de par leur statut éminent dans la communauté marocaine au Canada, leur ont conféré et à leur campagne de diffamation le sceau de la légitimité et de la force.
Certaines de ses personnes ont également atteint de multiples contacts sociaux et amicaux communs avec le fondateur du groupe Origines, qui avaient accepté initialement de le rencontrer et de collaborer avec lui pour la production d’articles et de reportages vidéos, puis se sont tout à coup rétractés après le soutien affiché de ces personnes-là aux initiateurs précités.
Les 4 initiateurs à savoir : Rachid Najahi, Bouchara Khatam, Khouibaba Abderahim et SalahEddine Alouani ont fait l’objet d’une plainte en civil à la cour supérieure de Montréal déposée le 11 juin 2021 sous le numéro : 500-17-117140-213 et au criminel le 29 Mai 2021, sous le numéro 39-210529-006, et depuis, les deux affaires sont en cours d’instruction.
Les 8 personnes relais poursuivis à date d’aujourdhui, à savoir : Ismaïl HARAKAT, Abdrahmane ADRAOUI, Nabil HALLAJI, Abdelhak BOUSSAYRI, Hassan BOULAL, Nezha EL KODDACHY, Kawthar OUARRAK et Safia LBAHY, ont fait l’objet de la deuxième plainte en civil à la cour supérieur de Montréal déposée le 08 juillet 2021 sous le numéro : 500-17-117509-219, et l’affaire est en cours d’instruction.
Ce papier ne sera probablement pas le dernier, notre public a le droit de savoir de quoi il en retourne sur les mois à venir. Il a aussi grand espoir que notre affaire va sonner le glas d’une longue habitude de diffamation sur les réseaux sociaux, dont souffre la communauté marocaine au Canada depuis une décennie et qui a fait plusieurs victimes. Peu parmi eux se sont adressées à la justice, ils se sont pour certains éclipsés la queue entre les jambes et pour d’autres au contraire, ils montés au créneau et répondu aux agresseurs par les mêmes armes à travers des Lives et des publications assassines, étendant le supposé « linge sale » des uns et des autres au vu et au su de tout le monde, et qui au final sont sortis abattus eux même autant que leurs agresseurs de ce combat de coq.
Le public doit prendre conscience de sa responsabilité camouflée derrière un écran ou un faux compte, et prendre la mesure que des mots péjoratifs laissés en commentaire par oisiveté ou par sympathie peuvent avoir autant d’impact sur la personne visée qu’un coup de massue. La justice d’ailleurs dispose de jurisprudence en matière de diffamation et d’intention de nuire, et tout internaute concerné devrait en être conscient et mesurer l’impact de ses actes.