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mercredi, novembre 20, 2024
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La vérité sombre : la pandémie préfère se nourrir des pauvres !

Plus t’es pauvre, plus tes chances de choper le COVID-19 augmente ! Le Québec nous dévoile la vérité !
Et si l’histoire de cette pandémie n’était qu’une polémique ! Mais la vérité est plus amère que tout cela.
Entre les cas confirmés, les guéris et les décès … tout ce tourbillon qui nous a mis dans un stress infernal. Cette agonie qui nous a tourmenté depuis le début de cette période continue toujours  à menacer l’humanité.
Mais,  ‘’faut pas pousser mémé dans les orties ” quand même ! Tout ce drame, il va falloir cacher quelque chose qui ne pourra pas être distingué facilement dans toute cette controverse. Et regardons  au-delà de tout ça, vers l’autre bout de cette guerre mondiale, car si au début vous ne voyiez que l’enfer… souhaitez désormais la bienvenue au diable en personne !
Certes, nous ne sommes pas ici entrain de contredire la science, ce n’est pas le but évidemment ! Malheureusement, la pandémie est bien mortelle et il faut toujours prendre ses précautions.
Mais l’histoire ne dépend plus des émotions de tristesse dans cette guerre biologique, cependant elle raconte le malheur clandestin des communautés faibles et pauvres. Quoiqu’on entende dire que « Fasse à la pandémie, nous sommes tous égaux ! », est-ce que c’est vraiment la vérité ? Ou bien même cette COVID-19 nous joue un petit jeu de rôles ; sommes-nous tous dans le même bateau ? Si la réponse était vraiment OUI, pourquoi une catégorie se noierais plus facilement que d’autres? Ou bien c’est devenu une question de priorité et de choix pour cette pandémie… Arrêtons ce ‘’ charabia ” et sortons de cette zone confort !
L’histoire de la pandémie est venue pour mettre de la pression sur différents aspects sociaux de notre vie. Ici, au Québec, les Québécois et surtout les Québécoises ont plus de chances d’attraper la maladie. Pour mieux expliquer : l’indice de pauvreté joue un rôle très important en ce sens car plus il est élevé, plus la possibilité de choper le virus augmente ; comme dans les zones assez défavorisées de Montréal  telles que : Montréal de Nord, Saint Michel, Rivières des prairies et Pointes aux trembles ; qui ont eu plus de chances d’être contaminées par rapport à d’autres endroits vus comme favorisés.
Sans aucun doute, les premiers cas confirmés  qui sont arrivés au Canada venaient des Québécois qui sont entrés au pays dans la même semaine. Mais à partir du moment où nous avons commencé à constater l’expansion du virus, la tendance est devenue claire « moins tu es  riche plus tu es à risque ! »
Faisons la comparaison entre deux quartiers de Montréal qui ont bien évidemment vécu très différemment la propagation de la pandémie :
Dans un premier cas, on trouve Montréal  Nord, avec plus de 3000 cas par tranche de 100 000 habitants par rapport à l’ouest de l’île de Montréal, Beaconsfield ou même Westmount où la COVID-19 semblait pratiquement absente. Puis, vient le quartier central où on peut trouver des familles de classe moyenne, des gens plus aisés, des étudiants, des jeunes professionnels … ici on a bien confirmé 1000 cas par 100 000 habitants.
Conclusion de cette mise en scène : parmi les facteurs qui affectent la propagation de la pandémie on trouve : le revenu ; 30 % des habitants de plateau font plus de 50 000$ /année, alors qu’à Montréal Nord on trouve un pourcentage de seulement 13 %.
En outre, au Québec cela dépend aussi de « Qui tu es ! » ; les femmes ont été plus touchées que les hommes (plus de 60 % de femmes) ; c’est à cause du système sanitaire qui s’appuie sur la catégorie féminine (environ 80 %) y compris les émigrantes.
En plus, l’économie à Montréal Nord n’a jamais été en pause grâce aux travailleurs essentiels qui n’ont pas arrêté les activités obligatoires même pendant la pandémie.
Et finalement, on trouve le logement comme étant un autre facteur non négligeable. Comme à Montréal, il reste cher donc on aura plusieurs personnes qui viveront avec leurs familles ou des colocataires. Mais la différence se fait ici suite à la carte des logements considérés comme ‘’inappropriés “‘ pour la quantité de gens qui y habitent.
Au fond, plus tu es pauvre plus tu as de chance d’attraper le virus !
Dr. El Amine SERHANIhttp://www.origines-hebdo.ca
El Amine SERHANI, est journaliste, membre de l’Association Canadienne des Journalistes depuis le 16 novembre 2020 sous le numéro de membre : 57044868. Au-delà de sa formation universitaire, il a suivi une formation dans le journalisme au centre CNFDI - Groupe JPL, Etablissement privé déclaré auprès du Ministère de l'Education nationale en France et membre de la Fédération Européenne Des Ecoles (FEDE) et ce depuis le 19 octobre 2020 ainsi qu’à HEC en marketing digital. L'expérience du journaliste et grand reporter de El Amine, a commencé dans le cadre du journal des étudiants à l’âge de 19 ans à l’Université Mohamed V, l’Université Hassan II et l’école française des affaires au Maroc ainsi que dans l’hebdomadaire « le Canard Libéré » entre 2008 et 2010. Il a continué depuis 2010 en rédigeant des centaines de rapports et papiers établis dans plus de 134 pays, parmi lesquels la rédaction et l’édition de 14 livres sur les thèmes suivants : Rituels et traditions marocaines, promotion territoriale, économie numérique, etc. Dr.SERHANI, finalise une grande étude sur la communauté marocaine établie au Québec, sur la base d’entretiens de plus d’une heure, menés avec plus de 1600 personnes de cette communauté. Depuis fin décembre 2018, Dr. SERHANI, a créé un média communautaire dédié à la diaspora marocaine établi au Canada en trois langues et sur plusieurs supports (Papier, web, mobile et les réseaux sociaux), appelé « Origines ». El Amine SERHANI, avait assuré pendant plusieurs années des missions comme consultant international auprès du Centre International du Commerce (une agence de l’ONU et l’OMC) et auprès des agences et programmes de l’union européenne. Depuis 2008, il est Président élu de la Fédération Nationale de l'Économie numérique Marocaine, et il aura collaboré avec une centaine d’instances diplomatiques marocaines dans plus de 87 pays dans les quatre coins du monde.
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