Depuis le mois de décembre 2020, Rachid Najahi et Abderrahim Khouibaba, suivis par une centaine de leurs amis et partenaires, s’acharnent sur le fondateur du Groupe « Origines »
Leur motivation : prendre le lead médiatique de la communauté marocaine et maghrébine au Canada à tout prix, quitte à détruire la réputation d’un membre de leur propre communauté.
Cet article vient à titre persuasif contre toute personne qui serait tentée de rallier les rangs de ces 4 personnes et de s’attaquer à notre réputation, car nous sommes à la date d’aujourd’hui confrontés à une centaine de personnes impliquées directement ou indirectement dans cette campagne de diffamation contre nous.
Les 2 personnes ont fait l’objet d’une plainte en civil à la cour supérieure de Montréal déposée le 11 juin 2021 sous le numéro : 500-17-117140-213, et d’une plainte en pénal déposée le 29 Mai 2021, sous le numéro 39-210529-006 et demande 300 000.00 $ en dommages moraux pour atteinte à la réputation et 200 000.00 $ en dommages punitifs.
Le 4 Mai 2021 à 02h39, Rachid Najahi publie sur sa page Facebook un email de la FPJQ au sujet du refus d’adhésion du fondateur du groupe Origines, et le 13 Mai 2021 un article de la FPJQ dénonçant des tentatives d’imposture de journalistes de la FPJQ.
Abderrahim Khouibaba talonne de près Rachid Najahi et publie sur sa page Facebook le même email de la FPJQ le 13 Mai 2021, et à nouveau l’article en question de la FPJQ le même jour.
Hormis ses publications écrites, Abderrahim Khouibaba répète en boucle, anime et co – anime des vidéos en direct (Live) sur Facebook, dans lesquelles il martèle que le fondateur du groupe « Origine », n’est pas journaliste, et insiste malicieusement que le fondateur du groupe Origines n’a pas la carte de journaliste non pas parce qu’il n’en a pas fait la demande à la FPJQ, mais pire – et il précise -, parce qu’il a fait sa demande mais a été refusé. Abderrahim Khouibaba généralement ne s’épanche pas par la suite toutefois, en détail sur le pourquoi de ce refus.
Seulement voilà, dans cette histoire racontée par les deux journalistes, membres de la FPJQ, et qui a fait les choux gras de la communauté marocaine au Canada durant les longues semaines passées sur les réseaux sociaux Facebook et YouTube, et qui a été largement plébiscitée par leurs partisans à fort renfort de « like », de commentaires sanguinolents et de partages tous azimuts, il existe un hic : Le fondateur du groupe Origines est bel et bien journaliste !!
Détail de taille, qui change la donne et anéantit tout le raisonnement biaisé des personnes impliquées et induites en erreur par dizaines par ces deux journalistes de la FPJQ dans cette affaire qu’on peut appeler la : « Press-Gate ».
Le fondateur du groupe Origines est journaliste mais il est adhérent à l’association des journalistes du Canada et non pas à la fédération professionnelle des journalistes du Québec, la FPJQ.
Le fondateur du groupe Origines avait fait simultanément sa demande d’adhésion aux deux fédérations, pour bénéficier des avantages professionnels et relationnels potentiels offerts par l’une comme l’autre des deux fédérations.
Sa demande d’adhésion à la FPJQ a été refusée, mais non pas pour des raisons d’incompétence comme Rachid Najahi et Abderrahim Khouibaba le crient sur tous les toits, mais bien pour 2 raisons particulières, qui n’ont pas été reprises par ces deux individus au moment de relater l’histoire, à savoir que : Son occupation principale n’est pas journaliste et que ses emplois précédents sont incompatibles avec la fonction journalistique, tous deux des critères propres à la FPJQ et non partagés par l’autre fédération à laquelle il se trouve affilié.
Il apparait donc évident que l’omission de ces détails dans les publications en question aurait pour but d’induire le public en erreur et de coller l’étiquette de l’incompétence au fondateur du groupe Origines, dans une énième attaque à sa personne par ces deux protagonistes de l’histoire.
De plus, pouvons-nous encore parler de journalisme quand on sait que Rachid Najahi n’a aucun article signé à son nom à ce jour, et que la majorité des publications de Abderrahim Khouibaba depuis une décennie sont sous forme de critiques virulentes, sans lien avec le travail journalistique que ce soit en forme ou en contenu.
Les deux confondent liberté d’expression avec diffamation et injure, croyant fermement que leurs cartes de presse sont un passe-droit pour dire ce qu’ils veulent.
Or ils se trompent lourdement, la preuve : en ayant tous les deux la carte de presse de la FPJQ, Abderrahim Khouibaba avait été condamné devant la cour supérieur du Québec à payer la somme de 15 000 dollars en 2013 à Rachid Najahi pour diffamation (Dossier numéro : 500-17-051235-094), et Rachid Najahi avait été condamné à payer à Abderrahim Khouibaba la somme de 30 000 dollars, toujours pour diffamation.
C’est bien la preuve que le droit à la liberté d’expression et le droit de la presse n’autorisent pas tout, et que la diffamation et l’injure sont des pièges qu’un journaliste doit éviter scrupuleusement car il en va de sa crédibilité et de sa propre réputation.
D’ailleurs les publications des deux journalistes sur la « Press-Gate », n’ont jamais pris la forme d’un article journalistique ou d’un reportage vidéo publié sur un support média, au lieu de cela ils les ont publiées sur leurs pages personnelles et sur des groupes privés sur Facebook et sur des chaînes YouTube, ce qui confirme à nouveau la non catégorisation de ces publications en tant que travail journalistique et les place hors cadre légal reconnu de la pratique journalistique.
Mais qu’en est-il de l’éthique et de la déontologie qui doit être observée en toute circonstance par les journalistes ?
Le guide de déontologie des journalistes du Québec, que les deux journalistes s’étaient engagés formellement à respecter en tant qu’adhérents à la FPJQ, comporte plusieurs alinéas que les deux ont enfreint de par leurs agissements et publications à l’égard du fondateur du Groupe Origines, et ce à de multiples reprises :
En infraction à l’alinéa 3.a du guide : Les journalistes ont l’obligation de s’assurer de la véracité des faits qu’ils rapportent au terme d’un rigoureux travail de collecte et de vérification des informations, ce que les deux concernés n’ont jamais fait, si ce n’est qu’en contactant le principal concerné, qui n’a jamais reçu aucune demande d’information, d’explication ou de clarification de leur part concernant les informations qu’ils auraient collectées.
En infraction à l’alinéa 3.d du guide : Les journalistes doivent se départager soigneusement de ce qui relève de leur opinion personnelle, et se maintenir aux faits, or les deux concernés émettent avec véhémence et virulence leurs opinions personnelles et ne respectent en rien l’obligation de s’en tenir avant tout au compte rendu précis des faits.
En infraction à l’alinéa 5.e du guide : Le fondateur du Groupe Origines, ne fait objet d’aucune accusation formelle, et pourtant les 2 concernés l’ont accusé ouvertement et identifié publiquement d’être soupçonné d’actes illégaux : Voleur, escroc, fraudeur, poursuivi par la police au Canada, poursuivi par la police au Maroc et en Europe, ils l’ont accusé d’avoir purgé une peine de 6 mois de prison pour escroquerie, sans aucune preuve, et sans qu’il fasse actuellement objet de procédures judiciaires.
En infraction à l’alinéa 6.a du guide : Ils ont gardé leurs sources anonymes, sachant que les conditions nécessaires pour l’anonymat des sources ne sont pas réunies : Les informations publiées ne sont pas d’intérêt public, l’information peut être obtenue en contactant directement le fondateur du groupe Origines et la source de l’information n’a aucun risque de subir un préjudice si son identité est dévoilée.
Aderrahim Khouibaba a même fait le contraire en promettant d’emblée le secret d’identité à ses potentielles sources dans un geste qui s’apparenterait à de l’encouragement à la délation impunie.
Ils n’ont en aucun cas décrit leurs sources anonymes suffisamment pour que le public puisse apprécier les critères de leur intérêt, compétence et crédibilité, il se sont contentés de dire que c’était « une source officielle », « un conseiller du roi », « enquête en cours », induisant en erreur le public qui a le droit de juger de par lui-même de ces critères.
En infraction à l’alinéa 6.e du guide : Les journalistes ne versent aucune rémunération aux personnes qui acceptent de fournir de l’information, alors que Abderrahim Khouibaba a encouragé certaines futures potentielles sources d’information à se déclarer sous le sceau de l’anonymat, leurs promettant dans certains cas une somme d’argent (200 dollars) et un stage de fin d’études chez ses amis s’ils acceptaient de se déclarer et dénoncer partout le fondateur du groupe Origines.
Il a également lancé un appel à toute personne qui aurait des motifs pour porter plainte contre le fondateur du groupe Origines à le faire en promettant de prendre en charge ses frais de justice s’il se déclare et poursuive ce dernier.
En infraction à l’alinéa 7 du guide : Les journalistes respectent le droit fondamental de toute personne à sa vie privée et à sa dignité. Or les deux ont et – notamment Abderrahim Khouibaba – bafoué la vie privée du fondateur du groupe Origines, donnant la photo et l’adresse de sa résidence, le prénom de son épouse, de son père, de sa mère, montrant sa photo et annonçant la couleur de sa voiture sur ses vidéos en direct et dans ses publications Facebook.
En respect à l’alinéa 9 du guide : Le journaliste doit éviter de se trouver en conflit d’intérêt avec sa mission. Or Abderrahim Khouibaba est de plein pied en situation de conflit d’intérêt car il préside la chambre de commerce AL MAGHREB/CANADA et accuse le fondateur du groupe Origines – entre autres accusations – de vouloir le suppléer à la présidence de cette chambre.
Dans l’une des vidéos en direct sur Facebook datant du 24 Décembre 2020, il a encouragé son hôte à concurrencer le groupe « Origines », en créant un groupe médiatique sur internet contre la promesse faite de le financer.
La même situation de conflit d’intérêt se pose pour Rachid Najahi, car il se déclare directeur du groupe « Atlas Média » et se trouve en situation de concurrence avec notre média « Origines ».
Il est également actif dans le domaine associatif que le fondateur du groupe Origines a traité dans ses reportages et articles et déclare également travailler dans l’événementiel, alors que le fondateur du groupe Origines a également déclaré avoir des vues sur ce marché.
La situation de conflit d’intérêt est claire entre ces deux journalistes et Le fondateur du groupe Origines, et afin de respecter le guide de déontologie en question, ils se devaient d’éviter cette situation de conflit d’intérêt et non pas profiter de leur statut de journalistes pour diffamer et injurier leur concurrent ou potentiel concurrent.
Abderrahim Khouibaba avait déclaré dans ses vidéos en direct avoir collaboré avec Rachid Najahi et d’autres personnes, s’être encouragé et soutenu mutuellement dans leur action contre le fondateur du groupe Origines, action qui a eu pour finalité, de démolir en groupe, la réputation de sa personne et de son projet.
Cette affaire a malheureusement également entaché la réputation de la FPJQ indirectement, car les 2 journalistes en question l’ont impliqué sans son consentement dans un règlement de compte personnel contre le fondateur du groupe Origines.
Ils ont transmis, et à plusieurs, l’information inexacte à la fédération FPJQ que le fondateur du groupe Origines se faisait passer pour un des leurs, ce qui a été réfuté naturellement par la fédération assaillie par les dénonciations des partisans dans cette affaire.
Ils ont par la suite utilisé un écrit qui leur a été adressé par la fédération au cours d’un échange privé confidentiel, sur lequel figurent des informations sensibles et à caractère personnel du fondateur du groupe Origines, et l’ont publié sans leur consentement à tous les deux, à des fins de diffamation de celui-ci.
L’histoire ne s’arrête pas là puisque la fédération face à ses dénonciations et à l’assurance de ses 2 membres des tentatives d’imposture de journaliste, s’est sentie obligée de rédiger un article à l’adresse de tous ses membres pour les avertir de cet incident, en évitant de mentionner néanmoins le nom du fondateur du groupe Origines comme étant la personne concernée.
Rachid Najahi et Abderrahim Khouibaba ne se sont pas privés de profiter de cette aubaine, et se sont empressés de publier cet article de la fédération et de déclarer que c’est à cause de du fondateur du groupe Origines. Abderrahim Khouibaba a même déclaré, je cite : « heureusement que l’article ne cite pas la communauté d’origine du concerné ». Ils pointent ainsi du doigt le fondateur du groupe Origines pour les conséquences d’actes qu’ils sont les seuls à avoir causés.
Le fondateur du groupe Origines, a fait un écrit à la fédération FPJQ pour l’informer de la situation, mais il n’a eu aucun retour de sa part, preuve de la gêne dans laquelle les 2 journalistes ont mis la direction de la fédération dans cette affaire.
Cette « Press-Gate » vient en épisode à un long feuilleton d’attaques virulentes orchestrées par les 2 protagonistes contre le fondateur du groupe Origine, qui a débuté pour l’un en Aout 2020 et pour l’autre en Décembre 2020, puis s’est intensifié et s’est transformé en acharnement à partir de Mai 2021, opéré en commun par les deux ainsi que d’autres acteurs ralliés à leur combat.
Le fondateur du groupe Origine a déposé suite à cet acharnement contre lui et son groupe, une plainte en pénal et en civil contre les concernés, ainsi que contre un petit groupe de personnes, tous membres de la même communauté marocaine au Canada, qui ont activement participé de par leurs déclarations ou leur agissements, à détruire la réputation du groupe et son fondateur, dans un déchainement d’injures, de mensonges et de propos diffamatoires, affichant l’intention claire de lui nuire et incitant la diaspora marocaine et maghrébine aux sentiments de mépris et de haine contre lui.
La justice suivra son cours et dira son mot dans ces poursuites, néanmoins il est déplorable de constater que ces 2 détenteurs de carte de presse de la FPJQ, y soient toujours membres même après leurs condamnations pour diffamation, et dans le cas de Rachid Najahi, même après une condamnation pour plagiat, on se demande si la FPJQ revoit régulièrement les critères de maintien de membres admis avant des décennies ou bien cet aspect lui échappe encore.
Ce qui est sûr c’est qu’avec des pratiques comme celles de ses 2 membres en question, la FPJQ ne gagne pas en bonne réputation.
Sources :
Guide de déontologie des journalistes du Québec
Jugement de l’affaire 500-17-051235-094
Déclarations sous serment de Rachid Najahi
Publications signées par Rachid Najahi et Abderrahim Khouibaba.
Publications signées par Abderrahim Khouibaba