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Exclusif : Rachid BTITI, poursuit en justice pour diffamation, 8 membres de la communauté marocaine et réclame 1 720 610 $.

Exclusif : Rachid BTITI, coordinateur du parti PAM au Maroc, poursuit en justice pour diffamation, 8 membres de la communauté marocaine établie au Québec et réclame 1 720 610 $ en dommages et intérêts.

Le décompte des victimes de la diffamation opérée sur Facebook, n’en finit pas d’augmenter. En effet, plusieurs plaintes ont été déposées, et d’autres sont pressenties prochainement, par des membres de la communauté marocaine au Canada contre les administrateurs des pages et groupes Facebook et leurs sympathisants fidèles, pour le même motif à savoir : la diffamation.

Le Groupe « Origines », de par son devoir de média communautaire dédié en priorité à la communauté marocaine au Canada, a le devoir de dévoiler au grand public ces affaires judiciaires en cours et leurs méandres. Et de manière plus générale, de braquer les projecteurs sur les agissements adoptés par ces personnes qui sont les protagonistes de ces affaires judiciaires ainsi que sur les dégâts notoires qu’ils causent aux membres de la communauté pris pour cibles.

Dans ce papier, nous allons fidèlement vous relater l’histoire de ce nouveau litige en diffamation engagé par Rachid BTITI, membre de la communauté marocaine établie à Montréal et ce depuis une dizaine d’années.

Tout a commencé par une plainte déposée à la police de Montréal, par Samira MSADIK sous le numéro : 07/201227-005. La plaignante accuse Rachid BTITI d’harcèlement sexuel, et publie le reçu donné par la police montréalaise suite à cette plainte, sur son compte personnel Facebook. Elle dit aussi dans cette publication qu’elle a demandé des excuses de la part de Rachid BTITI, mais qu’à la place, il l’avait menacé de la poursuive en justice.

Cette affaire glauque aurait été récupérée ou initiée par Rachid NAJAHI, toujours d’après les déclarations de Rachid BTITI. En effet, ce dernier avait publié sur son compte personnel une publication au sujet de cette affaire, en affichant l’impression écran de Samira MSADIK, de son pseudo sur Facebook : Riham AMIR, afin de la médiatiser et de la rendre public.

Rachid NAJAHI, a utilisé le #metoo, qui est un mouvement social encourageant la prise de parole des femmes, afin de faire savoir que le viol et les agressions sexuelles sont plus courants que ce qui est souvent supposé, et afin de permettre aux victimes de s’exprimer sur le sujet. Ce mouvement avait débuté en 2007 et est particulièrement connu depuis octobre 2017 à la suite de l’affaire Weinstein, un ancien producteur de cinéma américain qui avait été condamné pour viols et agressions sexuelles le 24 Février 2020.

Cette affaire a pris ensuite une tournure malsaine, la réputation de Rachid BTITI s’est trouvée entachée sur Facebook sur la base d’une simple dénonciation. Plusieurs personnes se sont jointes à cette compagne de diffamation à travers des publications sur Facebook et Instagram, des mini-articles publiés par Abdrahmane ADRAOUI sur ses pages Facebook, ADRAOUI Live et son site d’information Assahafa.

Mais aussi par Rachid NAJAHI sur le site et les pages sur Facebook du site d’information Atlas Media qu’il gère. Sans compter les directs vidéos sur Facebook animés par SalahEddine ALOUANI, par Bouchra KHATAM de son pseudo name : NBouchra Avakian et par Abderrahim KHOUIBABA.

Au-delà de cette compagne de diffamation, Rachid BTITI avait été menacé de violence physique en direct par SalahEddine ALOUANI et par Bouchra KHATAM. C’est dans ce sens qu’il avait déposé une plainte à la police montréalaise « SPVM » sous le numéro : 26-210522-007.

La compagne de diffamation continue à battre son plein, menée par les mêmes personnes, rejoints par de nouveaux membres de notre communauté. Je cite à titre d’exemple : Nadia Er-Rachid qui a organisé des débats au sujet de cette affaire, se basant sur une simple accusation sans preuve et sans fondement.

En effet, au moment du dépôt de la plainte de Rachid BTITI à la SPVM, il s’enquiert de la plainte de Samira MSADIK et apprend qu’elle n’a pas pu avancer car elle était mal fondée.

Nezha EL KODDACHY, la coordinatrice du même parti politique marocain que Rachid BTITI, avait profité de cette occasion pour se joindre à ce mouvement et anéantir la réputation de Rachid BTITI, qui est son collègue et concurrent dans le même parti politique au Maroc, le Parti authenticité et modernité.

Un an, après la plainte de Samira MSADIK, Rachid BTITI prépare un dossier avec un grand soin apporté par son avocat, traduit les publications et les propos de l’ensemble des diffamateurs et dépose sa plainte le 23 décembre 2021 à la cour supérieure du Québec sous le numéro : 500-17-119496-217.

Il réclame aux personnes suivantes : Rachid NAJAHI, Atlas Media,SalahEddine ALOUANI,  Abdrahmane ADRAOUI, Bouchra KHATAM, Nezha EL KODDACHY, Nadia Er-Rachid et Samira MSADIK, la somme d’un million sept cent quatre-vingt-douze mille et six cent dix dollars, 1 792 610,00$, en dommages et intérêts.

Dans une déclaration de Rachid BTITI, lors d’un entretien téléphonique, il nous a confirmé que de nouvelles personnes physiques et morales, seront rajoutées dans sa demande à la cour ; Il s’agit en l’occurrence, du site d’information Assahafa, Nouria YOUSSEFI et probablement d’autres membres de la communauté marocaine établie au Québec, impliquées dans cette compagne de diffamation.

Cette affaire est loin d’être un cas isolé, le fondateur du groupe origines, poursuit pour diffamation, six des mêmes personnes physiques et morales précitées, à savoir : Rachid NAJAHI, Atlas Media, Abderrahim KHOUIBABA, SalahEddine ALOUANI, Abdrahmane ADRAOUI, Bouchra KHATAM et Nezha EL KODDACHY, en Cour civile, dans les dossiers numéros : 500-17-117140-213 et 500-17-117509-219.

Le Collège l’Avenir de Rosemont, dirigé par cinq marocaines, poursuit également pour diffamation, une des personnes précitées, à savoir : SalahEddine ALOUANI dans le dossier numéro :  500-17-115808-217 avec Abdelhak BOUSSAYRI et Nabil HALLAJI. Ces deux dernières personnes sont également poursuivies par le fondateur du groupe Origine dans le dossier numéro : 500-17-117509-219.

Sources :
Dossier de la cour supérieur du Québec numéro : 500-17-119496-217
Dossier de la cour supérieur du Québec numéro : 500-17-117140-213
Dossier de la cour supérieur du Québec numéro : 500-17-115808-217
Plainte auprès de la SPVM numéro : 26-210522-007.
Déclarations de Rachid BTITI

Dr. El Amine SERHANIhttp://www.origines-hebdo.ca
El Amine SERHANI, est journaliste, membre de l’Association Canadienne des Journalistes depuis le 16 novembre 2020 sous le numéro de membre : 57044868. Au-delà de sa formation universitaire, il a suivi une formation dans le journalisme au centre CNFDI - Groupe JPL, Etablissement privé déclaré auprès du Ministère de l'Education nationale en France et membre de la Fédération Européenne Des Ecoles (FEDE) et ce depuis le 19 octobre 2020 ainsi qu’à HEC en marketing digital. L'expérience du journaliste et grand reporter de El Amine, a commencé dans le cadre du journal des étudiants à l’âge de 19 ans à l’Université Mohamed V, l’Université Hassan II et l’école française des affaires au Maroc ainsi que dans l’hebdomadaire « le Canard Libéré » entre 2008 et 2010. Il a continué depuis 2010 en rédigeant des centaines de rapports et papiers établis dans plus de 134 pays, parmi lesquels la rédaction et l’édition de 14 livres sur les thèmes suivants : Rituels et traditions marocaines, promotion territoriale, économie numérique, etc. Dr.SERHANI, finalise une grande étude sur la communauté marocaine établie au Québec, sur la base d’entretiens de plus d’une heure, menés avec plus de 1600 personnes de cette communauté. Depuis fin décembre 2018, Dr. SERHANI, a créé un média communautaire dédié à la diaspora marocaine établi au Canada en trois langues et sur plusieurs supports (Papier, web, mobile et les réseaux sociaux), appelé « Origines ». El Amine SERHANI, avait assuré pendant plusieurs années des missions comme consultant international auprès du Centre International du Commerce (une agence de l’ONU et l’OMC) et auprès des agences et programmes de l’union européenne. Depuis 2008, il est Président élu de la Fédération Nationale de l'Économie numérique Marocaine, et il aura collaboré avec une centaine d’instances diplomatiques marocaines dans plus de 87 pays dans les quatre coins du monde.
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