Comme promis à notre public, nous allons continuer à travers cette chronique judiciaire de vous informer sur le déroulé des audiences tenues dans le cadre de l’affaire « Le fondateur du groupe Origines contre Nabil Hallaji & All », et ce pour éviter toute désinformation de la part de certains des défendeurs dans cette affaire, qui choisissent sciemment de continuer à mentir au public, de l’induire en erreur pour le pousser à se piéger en se ralliant à leurs bataille illégale et condamnable contre le fondateur du groupe Origines.
Nos articles sont à but dissuasif et à intérêt public.
Les 9 défendeurs ont en majorité fait preuve de retenue cette semaine en arrêtant les agissements reprochés, sauf Nabil Hallaji et Safia El Bahy qui continuent en toute inconscience de partager et de soutenir les meneurs de la campagne de diffamation.
Pour quelles raisons continuent-ils à aligner les gaffes ? Mystère mystère !!
L’audience tenue à la cour suprême du Québec, à la date du 19 Août 2021, a pris lieu suite à la demande du fondateur du Groupe Origines pour une demande pour déclaration d’inhabilite de l’avocat du groupe de neuf individus.
Le 19 Août 2021 a connu un encombrement dans le rôle du tribunal (en langage plus simple : la file des dossiers à juger était trop longue), c’est dans ce sens que l’honorable juge a décidé de reporter ce dossier pour le lendemain le 20 Aout 2021.
Le 20 Aout 2021, le fondateur du groupe Origines avait soumis à la cour 2 demandes sous le même dossier : La première concernait une demande pour déclaration d’inhabilité de l’avocat et une deuxième demande d’une ordonnance interdisant l’accès à certains documents et leur communication.
L’inhabilité de l’avocat était avancée par le fondateur du groupe Origines pour présence d’apparence de conflit d’intérêt mais également pour les agissements inacceptables de la part de l’avocat dans cette affaire qui affiche ouvertement son soutien aux meneurs de la campagne de diffamation en apposant même un « like » sur une vidéo hautement diffamatoire de Rachid Najahi et Bouchra Khatam.
La demande d’interdiction d’accès à certains documents preuves, vient en prévention de la répétition de toute divulgation malicieuse et intentionnelle des défendeurs d’informations personnelle et sensibles comme certains d’eux ont osé faire auparavant, à l’encontre de tout principe moral et éthique connu.
Le 20 Aout, le problème de l’encombrement du rôle du palais de justice de Montréal, s’est répété, c’est dans ce sens que l’honorable juge a décidé de reporter ce dossier avec les 2 demandes inhérentes, pour le 14 septembre 2021, car selon le juge, les deux dossiers nécessitent plus de temps qu’alloué initialement.
Nous allons vous informer après cette date du déroulé de l’audience et de la décision du juge les concernant.
Nous clôturons ce récit, cinquième épisode de notre colonne « Chronique judiciaire », par une belle expression tout à fait dans l’aire du temps et des circonstances :
“Ce serait beau, l’honnêteté d’un avocat qui demanderait la condamnation de son client. ” Jules Renard
Source : Dossier numéro : 500-17-117509-219 à la Cour supérieure du Québec.