Dépôt d’une plainte auprès des ministères et agences au MAROC par le fondateur du groupe Origines contre le frère de Salah Eddine Alouani (l’agent de police) et le commissaire El FAQIR, tous deux soupçonnés d’avoir servi d’accessoire à Salah Eddine Alouani dans l’affaire de fabrication et publication de fausses preuves de casier judicaire.
Le 06 Aout 2021, le fondateur du groupe Origine adresse une plainte à messieurs : Mohamed Ben Abdelkader Ministre de la Justice, Moulay EL HASSAN DAKI Procureur général du Roi près la Cour de Cassation, Mohamed ABDENNABAOUI Président de la Cour de Cassation, Abdelouafi LAFTIT LAKBIACHI Ministre de l’Intérieur, Abdellatif HAMMOUCHI, Directeur général de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) et Directeur général de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) ;
Mohamed DKHISSI, Directeur de la police judiciaire et du bureau d’Interpol au Maroc et Omar SEGHROUCHNI, Président de la Commission nationale de contrôle de la protection des données à caractère personnel (CNDP).
L’objet de la plainte en question est la recherche illégale et communication des jugements du fondateur du groupe Origines au dénommé Salah Eddine ALOUANI par l’entremise de certains agents dans les services de police et de la justice.
A titre de bref rappel, le 03 Août 2021, le dénommé Salah Eddine ALOUANI, maroco-canadien résidant à Montréal, intendant d’un groupe Facebook « Pour une communauté marocaine meilleure au Canada », publie des parties de 2 jugements du tribunal de la première instance de Casablanca, concernant le fondateur du groupe Origines d’une manière tronquée et malicieuse en fabriquant une fausse preuve de casier judiciaire et la publier sous forme d’une information diffamatoire, en soutien à ses fausses allégations que le fondateur du groupe Origines serait un criminel.
Sur les 2 jugements en question – qui sont en civil d’ailleurs pas au criminel comme Salah Eddine ALOUANI et ses acolytes avaient déclaré et répété pendant des mois – le juge avait déclaré le fondateur du groupe Origines innocent dans le premier dossier et la même chose en appel dans le deuxième dossier, mais Salah Eddine ALOUANI s’est bien gardé de publier la partie du jugement final prononcé en sa faveur.
Salah Eddine ALOUANI ainsi que 3 autres personnes de la communauté marocaine au Canada, sont poursuivies depuis Juin 2021 devant la cour supérieure du Québec pour une campagne de diffamation acharnée qu’ils ont initiée et menée contre le fondateur du groupe Origines depuis Août 2020, et ce au départ après sa réception par l’ambassade du Maroc pour présenter la coopérative « MADE IN MOROCCO » et son lancement au Canada, puis après suite à la diffusion de documentaires à polémique sur le groupe média « Origine » traitant des mosquées et des maisons funéraires musulmanes.
Le dénommé Salah Eddine ALOUANI compte à son actif, uniquement en 2021, à ce jour 9 plaintes en civil et en criminel déposées contre lui par des citoyens marocains et maroco-canadiens à Montréal.
Une autre personne poursuivie dans le même dossier de diffamation, le dénommé Rachid NAJAHI a emboité le pas à Salah Eddine ALOUANI, et publié également l’information diffamatoire au sujet des deux jugements. Rachid NAJAHI dispose-lui aussi d’un casier judiciaire au Canada entre civil et criminel.
En tant que journaliste agrée au Canada, le fondateur du groupe Origines a pu à travers une enquête d’investigation menée à Montréal et au Maroc détecter la provenance potentielle de la fuite concernant le vol de ses données personnelles et leur divulgation au dénommé Salah Eddine ALOUANI.
Cette enquête journalistique a permis de mettre en lumière une proximité entre le dénommé Salah Eddine ALOUANI et 2 personnes au Maroc qui sont : son propre frère (L’agent de police ALOUANI) et un commissaire de police à Kenitra du nom de « El FAQIR ».
Ce commissaire est le père d’une étudiante dénommée Khaoulae El FAQIR, qui se trouve à Montréal depuis Décembre 2020, et qui est également impliquée avec Salah Eddine dans une affaire de diffamation d’un collège à Montréal, les deux sont suite à cette affaire, poursuivis à la cour supérieure de Montréal.
Le fait aujourd’hui qui justifie le dépôt de cette plainte est que le fondateur du groupe Origines a subi une recherche illégale de ses antécédents judiciaires au Maroc, sans motif, puisqu’il n’est poursuivi actuellement dans aucune affaire qui puisse justifier cette recherche, mais qu’en plus, le fruit de cette recherche a servi comme moyen pour permettre au dénommé Salah Eddine et ses acolytes de le diffamer.
Les ministères et agences destinatrices de ladite plainte ont en votre pouvoir tous les moyens pour détecter qui a fait la recherche sur système concernant son nom et données divulguées, et peuvent détecter ainsi avec précision le responsable de la fuite.
Le fondateur du groupe Origines leur a indiqué les liens entre le dénommé Salah Eddine ALOUANI et les potentielles personnes qui auraient pu être responsables de cette recherche, mais le soin est laissé tout entier à leurs services compétents pour procéder à l’enquête exhaustive et complète et incriminer le responsable avec exactitude.
Les sources d’information de l’enquête journalistique menée sont protégées par l’anonymat car le dénommé Salah Eddine ALOUANI a l’habitude de menacer de nuire à toute personne qui contrecarre ses agissements, ce qui est un motif suffisant de protection de la source journalistique.
Mais à partir de l’ouverture de la procédure judiciaire par les services en charge, et pour ne pas entraver leur travail, le fondateur du groupe Origines est prêt à leur fournir l’identité des témoins en question à condition de les protéger par l’anonymat dans le dossier d’instruction.
Le fondateur du groupe Origines appelle au professionnalisme et intégrité coutumiers des services marocains pour rendre justice dans cette affaire, qui ébranle tous les principes de morale et d’impartialité qu’un agent de la sureté doit observer dans l’exercice de ses fonctions, et qui a servi à une bande de diffamateurs d’induire en erreur toute une communauté le concernant : lui qui est un honnête citoyen, travailleur, patriote et fils de patriote, ayant servi son pays à plusieurs reprises à l’ONU et répondu à chaque fois à son appel pour dynamiser son économie et lever son drapeau en tant que MRE.
Une infraction similaire jette le discrédit sur les institutions marocaines respectueuses et font perdre foi en la mission noble de toute une profession. De ce fait tous les efforts devraient être déployés pour rétablir la confiance et adresser un message fort à quiconque qui essaierai d’abuser de son pouvoir et de servir et s’associer à une campagne de diffamation aussi abjecte.