Mes chers lecteurs maghrébins,
Hé bien, hé bien, hé bien, que de péripéties en ce moment sur la page Facebook de Abdelmejid TOUNARTI alias Lfarcha ! Ce petit malin a fait beaucoup de bruit avec ses publications mensongères et diffamatoires. On dirait qu’il est en train de concurrencer les magazines à potins avec ses ragots qui font trembler la sphère virtuelle.
Il semblerait que des centaines de plaintes aient été déposées contre lui au Maroc. Les journalistes en parlent, les articles en parlent et les victimes en parlent. Mais le petit génie de la diffamation est malin, il s’est enfui dans une autre juridiction pour échapper à la justice marocaine et toutes les plaintes sont restées en stand-by jusqu’à présent. Il peut donc continuer ses activités malsaines en toute impunité.
En plus, le petit coquin se sent pousser des ailes et se met maintenant au service de ses amis pour détruire les personnes qui osent le déranger sur sa page et ternir leur réputation. Il doit avoir lu Machiavel en cachette ce petit filou !
Le mois dernier, il s’est même attaqué à un journaliste communautaire qui a des liens solides dans son pays natal, le Maroc. Il l’a diffamé comme à son habitude, a partagé des documents falsifiés et l’a même menacé au téléphone. Le journaliste a immédiatement consulté ses avocats et a déposé une plainte à la cour supérieure du Québec contre Abdelmejid TOUNARTI, sa page Facebook Lfarcha et la société Facebook elle-même, qui héberge sa page et ne supprime pas les publications malgré les signalements à répétition.
La plainte a été déposée conjointement par Mme Iqbal BOUFOUS et M. Kabous ABOUSOUFIANE et demande une injonction permanente contre Abdelmejid TOUNARTI, sa page Facebook Lfarcha et une compensation financière de 500 000 dollars. Le petit rigolo risque de ne plus rire du tout s’il doit payer cette somme !
En tout cas, ces trois victimes espèrent que la justice canadienne rendra sa décision rapidement afin qu’ils retrouvent leur dignité dans la société et réparent ce qui a été cassé par Abdelmejid TOUNARTI. Mais on ne peut s’empêcher de se demander si le petit malin n’a pas déjà prévu une stratégie de défense en béton armé pour se sortir de ce mauvais pas. Affaire à suivre !