Tout Homme d’affaire prospère n’est pas nécessairement né avec une cuillère en or dans la bouche. C’est plutôt une question d’investissement dans les rêves, au lieu de juste rêver la nuit il faut bien se réveiller le matin pour pouvoir vivre le rêve.
Il faut toujours oser, car les grandes choses ne se produisent jamais dans la Zone de Confort !
Né en 1976 dans une famille marocaine modeste .Son Père travaille comme tailleur et sa mère est une femme au foyer. Il est donc un pur produit de l’école publique marocaine.
Hicham Jerando, a décidé donc de prendre le contrôle de son destinée. Apres avoir obtenu son baccalauréat en 1994, et un deug en littérature anglaise en 1996. Ce dernier a choisi de quitter le Maroc pour travailler avec un organisme canadien nommé : « Teachers Without Limits » comme enseignant de la langue anglaise en sud Libyen.
Plus le temps passait plus Hicham Jerando accumulait d’autres expériences. Passant par une bonne période en « Skynet World Wide Express » ; le 5eme réseau mondial de la logistique postale. Puis, il rejoint « DHL », ensuite il a travaillé comme charger d’opération dans plusieurs pays : Malta, Tunisie, Égypte et Dubaï.
En 2003 il rentra au Maroc pour s’installer. Il a travaillé donc comme directeur de vente pour MSL une compagnie d’une Canadienne à Casablanca pendant 2 ans. Il a été crédité d’implanter la compagnie et de former l’équipe commercial à Casa et Marrakech. Au même temps il a continué ses études supérieures à distance, et il a eu son diplôme en « Business Administration ».
En 2005, il a décroché le poste de responsable commercial chez le groupe KLK ( Kabaj Lalej Khaiatey) . Mais encore, il a travaillé sur plusieurs projets comme le fameux projet ‘’River Palm’’ (Palmeraie de Marrakech) , ‘’Janat Azaitoun’’ ( route de Casa a Marrakech ) . ‘’MaCity’’ ( Darbouazaa Casablanca) ‘’Malabatalehills’’ à Tanger . Puis en 2007, il a quitté le groupe pour partir a sa soutenance en USA afin de finaliser son MBA ‘’maîtrise en administration des affaires’’.
Son retour en 2008 au Maroc était le départ du lancement d’une compagnie de communication et d’accompagnement.
Bientôt en 2009, M. Hicham Jerando quitte le Maroc pour s’installer au Canada, comme il l’a bien décrit ‘’ Nouvelle vie, Nouveau challenge ‘’. Pour lui, apprendre c’est un processus non régi ni par le temps, le lieu ni l’âge. Il commença donc son premier job en bas de l’échelle comme commis à l’expédition chez ‘’Zellers’’ au centre de distribution : « J’ai appris beaucoup de choses, même si j ai jamais travaillé dans la grande distribution ».
Quittant ‘’Zellers’’ en 2011 pour commencer chez ‘’RootsCanada’’ ; une marque de vêtements Canadienne. Ce nouveau domaine était pour lui la porte pour se lancer en textile et commencer par la suite son propre projet en 2015. Il a donc démarré son petit commerce dans un petit magasin dans la cité de la mode à Montréal plus précisément à ‘’Chabanel ‘’ ; la rue ou les grandes compagnies de textile sont installer et qui est un centre vital pour le commerce du gros en Amérique du Nord et la source principal pour les grand surface au Canada et USA.
« Le contact au Canada est beaucoup plus fort que l’argent ». C’était la phrase clé de ce grand entrepreneur marocain. Hicham Jerando a fait beaucoup de contacts. Plus les jours passent et plus son carnet de contact agrandi. Il a rencontré les grands patrons et les propriétaires des grandes marques, la chose qu’il a bien aidée dans cette aventure.
En 2 ans, il a pu créer sa marque de vêtement « CEO JerandoFashion » et se lancer dans le domaine des costumes pour hommes. Juste après le lancement de cette dernière considérée comme la compagnie mère, Hicham Jerando repart avec sa deuxième marque « Jenaro ».
Il décide donc d’installer son bureau dans un édifice qui rassemble plusieurs compagnies connues. Il a aussi monté son « ShowRoom » et a ouvert 4 points de vente : 2 à Montréal, 1 à Laval et un autre à Istanbul en Turquie : « On avance doucement mais surement ! »
Hicham Jerando est devenu donc l’un des noms lourds dans ce domaine. Prouvant que vivre son rêve est bien possible : « Je peut dire que c’est dure de se lancer en affaire mais si nous sommes passionnés de ce qu’on fait, les institutions au Canada aident beaucoup. Il faut juste avoir le volonté de réaliser son rêve ».