Comme promis à notre public, nous allons continuer à travers cette chronique judiciaire de vous informer sur le déroulé des audiences tenues dans le cadre de l’affaire « Le fondateur du groupe Origines contre Rachid Najahi & All », et ce pour éviter toute désinformation de la part de certains des défendeurs dans cette affaire, qui choisissent sciemment de continuer à mentir au public, de l’induire en erreur pour le pousser à se piéger en se ralliant à leurs bataille illégale et condamnable contre le fondateur du groupe « Origines ».
(Nos articles sont à but dissuasif et d’intérêt public). Une petite parenthèse cependant, avant de vous relater le déroulement de la dernière session en date au tribunal avec les nouveautés de la semaine :
Bouchra Khatam n’arrête pas à ce jours ses méfaits : cette semaine elle a créé une chaine sur YouTube dédiée à diffamer le fondateur du groupe Origines, sur laquelle elle a versé à ce jour deux vidéos d’elle et de Rachid Najahi où ils le harcèlent de leurs accusations mensongères cousues de toutes pièces, profèrent des insultes et des menaces à son encontre.
Sans surprise, le nombre insignifiant des vues de ces vidéos démontre de la nullité du contenu et du contenant les concernant.
D’ailleurs les publications des deux individus sur leurs pages Facebook connaissent une baisse drastique témoignant de la mort du succès de leur campagne d’acharnement contre le fondateur du groupe Origines.
Preuve à l’appui, ces publications enregistrent généralement 0 « like » et 0 commentaire, à tel point que l’on se pose la question où sont passés même les faux comptes qu’ils utilisent d’habitude pour donner l’illusion du succès de leurs pages et leurs publications.
La communauté a heureusement bien saisi les motivations des deux individus, et compris le danger de s’allier à leur vindicte contre moi. Les rares têtes brulées et inconscientes qui se risquent encore à fricoter avec eux vont bientôt comprendre leur méprise.
Un faux compte qui prétend être l’oncle de la femme du fondateur du groupe Origine, continue à écrire des messages aux gens, et leur envoie de faux documents et des mensonges nous concernant.
D’ailleurs, nous prions nos lecteurs de nous transmettre tout document ou écrit qu’ils reçoivent nous concernant pour les additionner aux pièce preuves des dossiers ouverts en civil et en criminel contre ces individus.
Utiliser un faux document est un délit criminel et nous nous ferons une joie de le faire parvenir aux autorités policières.
Sur ce, on clôture cette parenthèse sur les nouveautés de la période et on passe à notre récit de l’audience au tribunal :
L’audience tenue à la cour suprême du Québec, à la date de 19 Août 2021, a pris lieu suite à la demande du fondateur du Groupe Origines, inscrite pour une demande d’une ordonnance interdisant l’accès à certains documents et leur communication (art. 124 (4) c.p.p.).
C’est-à-dire qu’il demande de présenter certains documents sous scellé, uniquement au juge.
La raison derrière cette demande est que depuis le dépôt de la plainte en civil au tribunal, certains parmi les accusés ont divulgué des informations figurants sur le dossier et les ont utilisées ainsi que d’autres personnes de leur entourage, pour fabriquer des propos mensongers et diffamer le fondateur du groupe Origines sur les réseaux sociaux.
Le fondateur du groupe Origines cite l’exemple de Nabil Hallaji qui avait été informé par les meneurs de deux noms de médicaments que le fondateur du groupe Origines avait déclaré prendre contre son état d’anxiété causé par la campagne de diffamation, le soldat attitré des meneurs les a publiés en affirmant que le fondateur d’Origines était un malade mental, qu’il était schizophrène et bipolaire.
D’autres pièces preuves sont assujetties à la demande de remise sous scellé, parmi lesquelles des écrits avec des organismes privés et public, et avec de hauts dignitaires de l’état comme ceux échangés avec l’ambassade du Maroc au Canada ;
Cette affaire est une affaire de diffamation, les accusés s’alimentent de toute bribe d’information critique qu’ils peuvent détourner et exploiter pour continuer leurs méfaits, c’est une guerre de mots et d’image dans laquelle des informations incluses dans ces pièces représentent un cadeau fait aux diffamateurs qu’ils peuvent exploiter à loisir contre le fondateur du groupe Origines et contre des tiers ;
Pour toutes ces raisons, le fondateur du groupe Origines s’est vu dans l’obligation de demander à l’honorable Cour, de lui accorder la présentation sous scellé de certaines pièces de son dossier, pour se protéger et protéger des tiers que ce soit des personnes morales ou physiques innocentes dans cette affaire, contre la nuisance causée par l’indiscrétion et le désir de nuire des accusés, mais également de toute divulgation accidentelle ou intentionnelle des pièces versées au dossier d’accès public;
Le 19 Août 2021, jour prévue de la session, le tribunal a connu un encombrement dans le rôle (en lexique plus simple : la file des affaires à passer ce jour-là), c’est dans ce sens que l’honorable juge a décidé de reporter plusieurs dossiers non-urgents a une date ultérieure.
Pour la première fois les 4 accusés et le fondateur du Groupe Origines se mettent d’accord dans un échange de courriels électroniques sur la date du 26 Août 2021 pour la tenue de cette audience reprogrammée.
Nous allons vous raconter après cette date le récit de l’audience et la décision du juge concernant le demande de mise sous scellé.
Nous clôturons ainsi ce récit, quatrième épisode de notre colonne « Chronique judiciaire », par une belle expression tout à fait dans l’aire du temps et des circonstances :
“Un avocat ferait n’importe quoi pour gagner un procès, parfois il pourrait même dire la vérité.” Patrick Murray
Source : Dossier numéro : 500-17-117140-213 à la Cour supérieure du Québec.