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Le fondateur du groupe Origines, porte une première plainte en civil et en pénal contre 4 membres de la communauté marocaine établie au Québec, pour diffamation, injures, menaces de violence physiques et menaces de mort.

Rachid NAJAHI, Abderrahim KHOUIBABA, Salah Eddine ALOUANI et Bouchra KHATAM font l’objet d’une plainte en criminel déposée le 29 Mai 2021 sous le numéro 39-210529-006 et en civil à la cour supérieure de Montréal déposée le 11 juin 2021 sous le numéro : 500-17-117140-213 par le fondateur du groupe Origines, et d'une demande de 300 000.00 $ en dommages moraux pour atteinte à la réputation et 200 000.00 $ en dommages punitifs.

Les personnes mises en cause dans cette plainte sont :  Rachid NAJAHI, Abderrahim KHOUIBABA, Salah Eddine ALOUANI et Bouchra KHATAM. Tous ne sont pas concernés par les 4 chefs d’accusations précités, les deux premières personnes sont concernées par la diffamation et l’injure, Salah Eddine Alouani est concerné par les 3 premiers chefs d’accusations à la fois, Bouchra KHATAM est celle qui est concernée par les 4 chefs d’accusations à la fois.

Les 4 personnes ont fait l’objet d’une plainte en civil à la cour supérieure de Montréal déposée le 11 juin 2021 sous le numéro : 500-17-117140-213, et d’une plainte en pénal déposée le 29 Mai 2021, sous le numéro 39-210529-006 et demande 300 000.00 $ en dommages moraux pour atteinte à la réputation et 200 000.00 $ en dommages punitifs.

Nous nous désolons évidemment de cette situation qui nous a été infligée par des membres de notre propre communauté et que nous ne souhaitons pas voir s’envenimer, ce qui nous obligerait à recourir à la justice contre ces personnes-là qui soutiennent les 4 meneurs précités et qui ont été pour leur plupart induites en erreur.

Cet article vient en premier lieu, pour répondre à l’appel insistant et constant de notre public, qui se demande qui sommes-nous et si les allégations de ces quatre personnes sont vraies, appel insistant auquel nous nous devions de répondre et satisfaire le besoin légitime de savoir du public.

En deuxième lieu, cet article vient à titre persuasif contre toute personne qui serait tentée de rallier les rangs de ces 4 personnes et de s’attaquer à notre réputation, car nous sommes à la date d’aujourd’hui confrontés à une centaine de personnes impliquées directement ou indirectement dans cette campagne de diffamation contre nous.

Nous allons également publier des articles informatifs sur les 4 personnes concernées, pour éclairer le public sur la nature exacte de leurs activités dans la communauté, leurs antécédents judiciaires en civil en matière de diffamation, toujours dans l’intérêt d’informer le public sur cette affaire de diffamation que les mis en cause ont rendue publique et ce dans le respect de la loi et du code de journalistes Canadiens auquel nous sommes tenus.

Cette introduction étant faite, et pour les personnes de la communauté qui auraient été non informées des évènements entourant cette affaire, voilà un récit bref et concis pour mieux comprendre la suite :

Le 15 février 2020, au centre Culturel Marocain Dar Al Maghrib à Montréal, une réception a été organisée en l’honneur du fondateur du groupe Origines, avec la présence effective de l’ensemble des responsables, diplomates, Directeurs des institutions marocaines établies au Canada afin de célébrer le lancement de son projet au Canada « Made in Morocco », cette réception a été diffusée et mise en ligne dans des postes sur les comptes Facebook et Twitter du consulat et de l’ambassade marocaine au Canada.

Il a ensuite démarré une activité de réseautage en se basant sur de premiers contacts rencontrés lors de cette réception, ou introduits par les différentes institutions travaillant avec les membres de la communauté, par les institutions marocaines et à travers les personnes référencées par les personnes déjà rencontrées elles même.

En utilisant les moyens à sa disposition en temps de pandémie COVID-19, qui n’étaient pas nombreux car les foires professionnelles et évènements sociaux étaient à l’arrêt complet, il s’est donc catonné au réseautage par références ou sur les sites internet et sur les réseaux sociaux (Linkedin, Facebook, etc).

Cette activité de réseautage tout à fait saine, a servi à 2 personnes qui sont  Rachid NAJAHI et Bouchra KHATAM de tremplin, pour lancer une attaque de diffamation contre le fondateur, pour laquelle ils ont créée et nourrit une histoire aussi grosse qu’incroyable, qui est de prétendre que le fondateur se fait passer par un émissaire du Roi et qu’il collecte des « dossiers » sur les membres de la communauté pour les vendre à une partie « inconnue », et ils ont commencé à diffuser ce message – sorti tout droit d’une parodie d’un film de James Bond – dans la communauté et ce dès le mois d’Aout 2020 ;

Le 15 septembre 2020, le groupe Origines a été créé, suite à l’étude menée avec la communauté marocaine établie au Canada, fruit du travail de réseautage déjà fait et des rencontres individuelles du fondateur avec 1600 personnes sur une période de 7 mois, et qui a ressorti un besoin certain en support média et informatif destiné à la communauté.

Depuis le 16 octobre 2020, le fondateur a adhéré à l’Association Canadienne des Journalistes pour obtenir ainsi sa carte de presse, suite à quoi, il a publié la version électronique de l’hebdomadaire Origines sous l’adresse web : www.origines-hebdo.ca, et imprimé un premier exemplaire de journal papier qu’il n’a cependant pas imprimé ni publié à large échelle, toujours à cause de la conjoncture difficile du COVID-19.

Il a également publié une centaine d’articles en trois langues (Arabe, Français et Anglais) ainsi qu’une dizaine de vidéos parmi lesquelles deux reportages :  le premier sur les échanges des données fiscales,  le deuxième sur la gestion des mosquées musulmanes et un troisième reportage sur les cimetières et maisons funéraires musulmans, le tout jusqu’à la fin du mois d’Avril 2021.

Suite à ces publications à fin décembre 2020, un groupuscule formé à ce moment-là de : Rachid NAJAHI, Bouchra KHATAM, Salah Eddine ALOUANI et Abderrahim KHOUIBABA ont intensifié leurs attaques qu’il avaient commencées de façon épisodique des mois avant, et adressent dorénavant leurs attaques à fréquence quotidienne parfois, se soutenant à travers le partage des postes et de vidéos en direct dans les différents groupes pour injurier, menacer et diffamer le fondateur du groupe Origines, en n’hésitant pas à publier de faux documents supposés prouver leurs accusations portant ainsi atteinte à sa réputation ;

Rachid NAJAHI et Abderrahim KHOUIBABA prétextent qu’ils sont journalistes et qu’ils exercent le droit de la presse, or leurs publications n’ont rien à voir avec les pratiques journalistiques ni en contenu ni en format et sont en infraction à la loi et au guide déontologique de la fédération à laquelle ils sont affiliés.

En effet, on n’a jamais vu un journaliste insulter les personnes sujettes de ces publications, les traiter de « malade mental », « de pire que chien », « de voleur », d’insulter leurs parents et leurs conjointes et j’en passe, comme l’a fait à de multiples reprises Abderrahim KHOUIBABA.

On n’a jamais vu non plus des journalistes collaborer en groupe pour détruire la réputation d’un homme comme en témoigne les propos des mis en causes dans leurs vidéos :

Selon le témoignage de Abderrhim KHOUIBABA, sur sa vidéo du 24 Mai 2021 diffusée sur Youtube, de 00:38:14 à 00:38:59, il désigne Rachid NAJAHI clairement comme le « réalisateur de cette opération » contre le fondateur du groupe Origines. Il déclare également qu’ils se parlent et se concertent entre eux après 20 ans de discorde et qu’ils parlent aussi à Salah Eddine ALOUANI et Bouchra KHATAM.

Egalement selon le témoignage de Salah Eddine ALOUANI sur sa vidéo du 28 Juin 2021 sur Facebook, Salah Eddine ALOUANI déclare que Abderrahim KHOUBABA et son avocat les aident, il présente également les autres mis en cause comme étant ses partenaires ainsi que les « soldats de l’ombre » comme il désigne les autres personnes impliquées avec eux mais ne s’affichant pas ouvertement, et je cite sa déclaration « on a travaillé main dans la main ».

Les mis en cause prétendent qu’ils ont agi pour défendre les intérêts des victimes, victimes qui n’existent que dans leurs discours, car aucune plainte n’a été déposée contre le fondateur par ces mystérieuses victimes ni au Maroc ni au Canada.

Alors même que les mis en cause avaient lancé à l’intention des potentielles victimes des appels à se manifester à multiples reprises sans succès, et que certains parmi eux ont contacté directement par messagerie Facebook des collaborateurs et plusieurs contacts sociaux et professionnels du fondateur du groupe avec un discours intimidant, alarmiste et mensonger, se présentant pompeusement comme des journalistes du Canada , directeurs d’un groupe média, membres  de fédération de journalistes,  et leur annonçant que plusieurs grands médias journaux et télévision marocains enquêtent sur le fondateur du groupe « l’escroc » et vont les contacter, dans l’espoir de susciter la peur, le doute et de collecter des informations qui lui seraient préjudiciables.

Certaines de ces personnes contactées, naïves ou intimidées, ont cru à leurs histoires et dans l’urgence de se dédouaner d’une situation présentée comme dangereuse, leur ont livré des bribes de vérité concernant leur relation ou leur collaboration avec le fondateur, que les meneurs se sont alors empressés de mélanger à des mensonges, à déformer le tout puis à resservir l’ensemble sous un format diffamatoire, en partageant à leur insu les conversations qu’ils ont eu avec ces personnes et en parlant en leur nom sans leur consentement.

Un ancien élève technicien stagiaire frustré de la fin de son stage avec le groupe et de l’annulation de son projet d’embauche, avait trouvé dans le contact engagé par les diffamateurs avec lui, une aubaine pour déverser sa bile et frustration sur le fondateur.

D’ailleurs il avait essayé d’utiliser cette situation pour soumettre le fondateur à un chantage à peine camouflé, celui de lui forcer la main pour l’embaucher, alors que le fondateur ne pensait plus et depuis longtemps l’engager à cause d’absences répétées, de non disponibilité à cause des études encours et de désaccords sur les méthodes de son travail, d’ailleurs cette décision s’est vue confortée à cause du comportement que cet ex-stagiaire a eu en contumace avec les diffamateurs, partageant avec eux des correspondances d’ordre professionnel couverts par l’obligation de confidentialité, dont ils ont sorti un seul enregistrement audio à sens équivoque, qu’ils ont sorti de son contexte et employé à diffamer à nouveau le groupe et son fondateur.

Hormis le timing et la chronologie qui réfute cette théorie de protection de l’ex-stagiaire, car l’attaque avait commencé des mois avant la manifestation de ce dernier, les mis en cause ne disposent d’aucun statut, ni d’autorité pour recevoir les pseudos-plaintes des citoyens et des membres de la communauté comme ils prétendent.

La province du Québec, le Canada et le Maroc disposent de leurs administrations policières et légales qui elles, à leur opposé, ont ce statut et autorité légitimes.

Supposant même que ça soit leur réelle motivation, les mis en causes se devaient d’orienter ces citoyens vers le numéro dédié aux victimes de délits ou d’infractions, ou vers un poste de police qui se trouve dans chaque quartier, ou encore vers le tribunal qui se trouve dans chaque ville, et non pas les instrumentaliser pour mener une attaque d’envergure contre le fondateur sur les réseaux sociaux et d’inciter le public à la vindicte populaire contre lui.

Il se devaient de contacter le fondateur pour demander des explications et des clarifications sur les allégations de ces personnes, comme l’aurait fait tout journaliste qui se respecte, ce qu’ils n’ont jamais fait. Il se devaient de se baser sur des preuves réelles et vérifiées au lieu de croire et d’alimenter des ouï-dire, ce qui confirme à nouveau la dissonance entre leurs déclarations et leurs réelles motivations.

Mais vous vous demandez surement pourquoi avoir attendu si longtemps pour en parler ? et pourquoi en parler aujourd’hui des mois après le démarrage de cette campagne ?

Il est vrai que cet article vient après une longue période de silence, mais le public doit savoir que cette période était nécessaire pour la compréhension de tous les aspects de cette campagne d’acharnement, durant laquelle on s’est affairé à constituer les dossiers des plaintes déposées auxquels on a joint l’ensemble des preuves contre les mis en cause, preuves que ces derniers d’empressaient d’effacer pour se dédouaner de leurs agissements.

C’est un travail fastidieux de veille, de collecte et de croisement des informations, qui a couté en temps et en énergie sans parler du cout financier en jeu et de l’impact moral sur le fondateur et sa famille.

Cet article vient en premier lieu, pour répondre à l’appel insistant et constant de notre public, qui se demande qui sommes-nous et si les allégations de ces quatre personnes sont vraies, appel insistant auquel nous nous devions de répondre et satisfaire le besoin légitime de savoir du public.

Nous ne pourrons certainement pas réfuter les accusations à travers un seul article, ni même une vingtaine, c’est pour vous dire l’ampleur de l’attaque et la quantité d’informations mensongères, déformées, détournées, inventées, que vous aurions à réfuter. Par contre ce que nous pouvons dire, c’est de vous assurer que nous allons mettre à disposition des administrations judiciaires au Canada toutes les preuves attestant des propos diffamatoires et mensongers, des fautes induites par ces propos et du préjudice causé à notre réputation et celle du fondateur du groupe Origines.

Mais encore, savez-vous ce que c’est que la diffamation ?

A titre d’information et de rappel, La cour suprême dans l’arrêt de principe Prud’homme c Prud’homme, définit ainsi la notion de diffamation : (…) De façon générale, on reconnait que la diffamation consiste dans la communication de propos ou d’écrits qui font perdre l’estime ou la considération de quelqu’un ou qui, encore, suscitent à son égard des sentiments défavorables ou désagréables (…) La réputation constitue un attribut fondamental de la personnalité, qui permet à un individu de s’épanouir dans la société. Il est donc essentiel de la sauvegarder chèrement car une fois ternie, une réputation peut rarement retrouver son lustre antérieur.

De plus, dans Pop c. Boulanger, la Juge Corriveau résume ainsi les situations pouvant engager la responsabilité de l’auteur des paroles diffamatoires :

      1. Lorsqu’il prononce des propos désagréables à l’égard d’un tiers tout en les sachant faux,
      2. Lorsqu’il prononce des choses désagréables à l’égard d’un tiers alors qu’il devrait les savoir fausses,
      3. Lorsqu’il tient, sans juste motif et avec l’intention de nuire, des propos défavorables mais véridiques à l’égard d’un tiers.
Dr. El Amine SERHANIhttp://www.origines-hebdo.ca
El Amine SERHANI, est journaliste, membre de l’Association Canadienne des Journalistes depuis le 16 novembre 2020 sous le numéro de membre : 57044868. Au-delà de sa formation universitaire, il a suivi une formation dans le journalisme au centre CNFDI - Groupe JPL, Etablissement privé déclaré auprès du Ministère de l'Education nationale en France et membre de la Fédération Européenne Des Ecoles (FEDE) et ce depuis le 19 octobre 2020 ainsi qu’à HEC en marketing digital. L'expérience du journaliste et grand reporter de El Amine, a commencé dans le cadre du journal des étudiants à l’âge de 19 ans à l’Université Mohamed V, l’Université Hassan II et l’école française des affaires au Maroc ainsi que dans l’hebdomadaire « le Canard Libéré » entre 2008 et 2010. Il a continué depuis 2010 en rédigeant des centaines de rapports et papiers établis dans plus de 134 pays, parmi lesquels la rédaction et l’édition de 14 livres sur les thèmes suivants : Rituels et traditions marocaines, promotion territoriale, économie numérique, etc. Dr.SERHANI, finalise une grande étude sur la communauté marocaine établie au Québec, sur la base d’entretiens de plus d’une heure, menés avec plus de 1600 personnes de cette communauté. Depuis fin décembre 2018, Dr. SERHANI, a créé un média communautaire dédié à la diaspora marocaine établi au Canada en trois langues et sur plusieurs supports (Papier, web, mobile et les réseaux sociaux), appelé « Origines ». El Amine SERHANI, avait assuré pendant plusieurs années des missions comme consultant international auprès du Centre International du Commerce (une agence de l’ONU et l’OMC) et auprès des agences et programmes de l’union européenne. Depuis 2008, il est Président élu de la Fédération Nationale de l'Économie numérique Marocaine, et il aura collaboré avec une centaine d’instances diplomatiques marocaines dans plus de 87 pays dans les quatre coins du monde.
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